Un lambeau ou deux de passé,
Un futur que je ne peut imaginer.
Des jours qui devraient être heureux
Mais où mon ciel n'est pas bleu.
Mon corps souffre autant que mon cœur
Esprit torturé, je me sens vidée.
Mais yeux sont pleins
De larmes doucement salées,
Qui ne peuvent parfois même pas couler.
J'ai juste peur.
Une peur, une tristesse sans fin.
Un monde dans lequel je m'enfonce.
Je suis comme retenue par des milliers de ronces.
A mes proches, je suis désolée.
Je ne suis qu'une enfant perdue,
Dans un monde inconnu.
Je ne comprends plus,
Ni ce que je suis, ni ce que je veux
Et encore moi ce que j'ai dit il y a peu.
J'ai pris sur moi
J'ai tenté d'accepter l'aide des autres
Enfin je crois
Mais je n'entends plus ma voix.
J'entends à peine les vôtres.
Car je suis perdue.
Ce poème est le chant du cygne, le cri du coeur
D'une enfant qui a peur
Un futur que je ne peut imaginer.
Des jours qui devraient être heureux
Mais où mon ciel n'est pas bleu.
Mon corps souffre autant que mon cœur
Esprit torturé, je me sens vidée.
Mais yeux sont pleins
De larmes doucement salées,
Qui ne peuvent parfois même pas couler.
J'ai juste peur.
Une peur, une tristesse sans fin.
Un monde dans lequel je m'enfonce.
Je suis comme retenue par des milliers de ronces.
A mes proches, je suis désolée.
Je ne suis qu'une enfant perdue,
Dans un monde inconnu.
Je ne comprends plus,
Ni ce que je suis, ni ce que je veux
Et encore moi ce que j'ai dit il y a peu.
J'ai pris sur moi
J'ai tenté d'accepter l'aide des autres
Enfin je crois
Mais je n'entends plus ma voix.
J'entends à peine les vôtres.
Car je suis perdue.
Ce poème est le chant du cygne, le cri du coeur
D'une enfant qui a peur
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