MES QUATRE VINGT cinq ANS
Je suis né il y a bien longtemps,
Me voici a l’aube de mes quatre vingt cinq ans,
C’est un lourd fardeau
Toutes ces années sur le dos.
Combien de fois mon cœur a battu,
Combien de Km mes jambes ont parcouru,
Malgré ce temps et malgré tout,
Ma vieille carcasse est toujours debout.
Si j’ai encore une bonne santé,
C’est que je suis un peu rafistolé,
J’ai souvent subi
L’assaut du bistouri.
Dans ma tête je ne me sens pas vieux,
Même si j’ai perdu les cheveux,
J’ai parfois envie de sauter, de courir
Mes les douleurs sont là pour me punir.
Grâce à mes petits enfants et de leurs chansons,
Je me suis adapté à leur génération,
Mais je n’oublie pas la mienne,
Si triste, autant je me souvienne
Tout ce petit monde autour de moi
Me comble de joie,
Et quand Jade Evan Lysa me sourient
Quel plaisir d’être grand papi.
Bien sur je ne sais pas ce qui m’attend,
Suis –je ici encore pour longtemps,
Dieu me réserve la surprise,
Un jour il me dira (prépare ta valise).
Il m’enverra le train du paradis
Pour mon dernier voyage gratuit,
A l’arrivée, a la descente du wagon,
Parents et amis m’attendrons
C’est ainsi que va la vie,
L’horloge tourne, et puis elle n’a plus envie,
Les aiguilles s’arrêtent, elle sonne plus,
On devient « un cher disparu »
Me voici a l’aube de mes quatre vingt cinq ans,
C’est un lourd fardeau
Toutes ces années sur le dos.
Combien de fois mon cœur a battu,
Combien de Km mes jambes ont parcouru,
Malgré ce temps et malgré tout,
Ma vieille carcasse est toujours debout.
Si j’ai encore une bonne santé,
C’est que je suis un peu rafistolé,
J’ai souvent subi
L’assaut du bistouri.
Dans ma tête je ne me sens pas vieux,
Même si j’ai perdu les cheveux,
J’ai parfois envie de sauter, de courir
Mes les douleurs sont là pour me punir.
Grâce à mes petits enfants et de leurs chansons,
Je me suis adapté à leur génération,
Mais je n’oublie pas la mienne,
Si triste, autant je me souvienne
Tout ce petit monde autour de moi
Me comble de joie,
Et quand Jade Evan Lysa me sourient
Quel plaisir d’être grand papi.
Bien sur je ne sais pas ce qui m’attend,
Suis –je ici encore pour longtemps,
Dieu me réserve la surprise,
Un jour il me dira (prépare ta valise).
Il m’enverra le train du paradis
Pour mon dernier voyage gratuit,
A l’arrivée, a la descente du wagon,
Parents et amis m’attendrons
C’est ainsi que va la vie,
L’horloge tourne, et puis elle n’a plus envie,
Les aiguilles s’arrêtent, elle sonne plus,
On devient « un cher disparu »