Vingt six juillet mille neuf cent-soixante dix neuf
Maternité de Marcq-en Baroeul
Quinze heures cinquante neuf
On te fais un bel accueil, à tes cinquante deux centimètres et tes trois kilos neuf
T'arrives sur cette terre, tu n'y vois pas bien clair
Ils viennent de te donner la vie, merci, à tous les deux.
Tu as toujours été très clame comme enfant
Mais t'élever n'a pas toujours été très reposant
Mais eux ils ont su rire et ils ont su grandir
Et ils ont su comprendre en même temps que toi, merci pour ça.
C'est vrai que l'école et toi c'était pas la folie
Mais tu as travaillé et tu as réussit
C'était pas évident, sans qu'ils te tendent la main
Car il y a d'autres parents qu'on pas aidé leur gamin
Pas eux merci, pour ça aussi.
Quinze ans tout juste
Tu débarques tout seul à St Luc
Et ils t'ont laissé faire, malgrès ce qu'on leur à dit
C'était là ta seule chance, et ils t'ont fait confiance
Tu ne l'ais a pas trahit et aujourd'hui, mille fois merci
Car aujourd'hui, tu vis toujours grace à eux deux
Car aujourd'hui, tu te déclares un homme heureux
C'est à eux que tu le dois, ça c'est pas fait comme ça,
Mais ils avaient la foie en toi, merci pour ça.
On me traitera de démago, certainement.
On se moquera, dis merci à papa, maman
Mais tout ça on s'en fout, ce qui compte après tout.
C'est que je puisse gravé dans ce poème, c'est quelques mots :
JE VOUS AIME
Inspiré d'une chanson de Florent Pagny.
Maternité de Marcq-en Baroeul
Quinze heures cinquante neuf
On te fais un bel accueil, à tes cinquante deux centimètres et tes trois kilos neuf
T'arrives sur cette terre, tu n'y vois pas bien clair
Ils viennent de te donner la vie, merci, à tous les deux.
Tu as toujours été très clame comme enfant
Mais t'élever n'a pas toujours été très reposant
Mais eux ils ont su rire et ils ont su grandir
Et ils ont su comprendre en même temps que toi, merci pour ça.
C'est vrai que l'école et toi c'était pas la folie
Mais tu as travaillé et tu as réussit
C'était pas évident, sans qu'ils te tendent la main
Car il y a d'autres parents qu'on pas aidé leur gamin
Pas eux merci, pour ça aussi.
Quinze ans tout juste
Tu débarques tout seul à St Luc
Et ils t'ont laissé faire, malgrès ce qu'on leur à dit
C'était là ta seule chance, et ils t'ont fait confiance
Tu ne l'ais a pas trahit et aujourd'hui, mille fois merci
Car aujourd'hui, tu vis toujours grace à eux deux
Car aujourd'hui, tu te déclares un homme heureux
C'est à eux que tu le dois, ça c'est pas fait comme ça,
Mais ils avaient la foie en toi, merci pour ça.
On me traitera de démago, certainement.
On se moquera, dis merci à papa, maman
Mais tout ça on s'en fout, ce qui compte après tout.
C'est que je puisse gravé dans ce poème, c'est quelques mots :
JE VOUS AIME
Inspiré d'une chanson de Florent Pagny.