Donnes moi la main tristesse,
Dans tes yeux alanguis,
Où glisse l'ombre grise,
Je vois venir la nuit dans mon coeur en détresse.
La douleur m'étreint,
Mes yeux noyés de larmes, glissant dans les sillons,
C'est la pluie des alarmes
Qui donnent le frisson.
Adieu temps merveilleux
Où nous allions tous deux, dans les verts boccages
Chanter à l'unisson, un Amour sans âge,
Remplissant notre Vie de Joie et de Passion.
Il faudra nous quitter
Oublier nos baisers,
Briser ces liens si doux,
Et refermer la porte de tous nos rendez-vous
La Vie est bien amère
Pour tous ceux qui s'aiment
De laisser sans lumière
Leurs âmes au désespoir , comme une fin suprême
Baguette le 18/01.2009