poème de part moi-même
Je te maudis et te blâme, toi le misogyne
Oui, toi qui n'as pas compris ce qu'est la beauté
Je te le dis : ta vie ne sera que famine,
Et tu ne feras rien d'autre que de végéter.
Crois moi ! Je ne suis pas l'homme de utopies
Mais la femme est une créature magnifique
Elle fut conçue dansle but de parfaire ta vie
C'est ça que tu n'as pas compris, Voic le hic.
Déesse immortelle, elle fait flamboyer l'Amour
Cet amour qui pour toi ne prendra jamais cours
A moins de retrouver la Raison et la Vue
Pour qu'elle puisse, enfin, t'aveugler de sa clarté.
Aucun rempart n'a su enore lui résister.
Libère toi ! Va chanter ces louanges dans la rue.
Oui, toi qui n'as pas compris ce qu'est la beauté
Je te le dis : ta vie ne sera que famine,
Et tu ne feras rien d'autre que de végéter.
Crois moi ! Je ne suis pas l'homme de utopies
Mais la femme est une créature magnifique
Elle fut conçue dansle but de parfaire ta vie
C'est ça que tu n'as pas compris, Voic le hic.
Déesse immortelle, elle fait flamboyer l'Amour
Cet amour qui pour toi ne prendra jamais cours
A moins de retrouver la Raison et la Vue
Pour qu'elle puisse, enfin, t'aveugler de sa clarté.
Aucun rempart n'a su enore lui résister.
Libère toi ! Va chanter ces louanges dans la rue.