Elle a laissé son livre ouvert
Dans cette nature où tout est vert
Sa chevelure elle a fleurie
Mais elle est dans la rêverie
Elle s’enivre de l’air ambiant
Dans ce bois aux oiseaux pépiant
Frondaisons aux mille nuances
Avec toutes ses effluences
Et elle ne cesse de penser
A ce très lointain fiancé
Son amour dont elle est si fière
Mais qui est parti à la guerre
Elle a enlevé son collier
Qui égrené comme un rosaire
Pour un décompte de prières
Atteignant déjà le millier
Forêt d’amour, tristesse ou deuil
Brûlants de souffrances ou d’orgueil
Sur nous éventez vos ramures
Afin d’endormir nos blessures…
Impavidité éternelle
Dans cette atmosphère solennelle
Qui émane des vieux sapins
Nous émouvant soirs et matins…
Jan
Dans cette nature où tout est vert
Sa chevelure elle a fleurie
Mais elle est dans la rêverie
Elle s’enivre de l’air ambiant
Dans ce bois aux oiseaux pépiant
Frondaisons aux mille nuances
Avec toutes ses effluences
Et elle ne cesse de penser
A ce très lointain fiancé
Son amour dont elle est si fière
Mais qui est parti à la guerre
Elle a enlevé son collier
Qui égrené comme un rosaire
Pour un décompte de prières
Atteignant déjà le millier
Forêt d’amour, tristesse ou deuil
Brûlants de souffrances ou d’orgueil
Sur nous éventez vos ramures
Afin d’endormir nos blessures…
Impavidité éternelle
Dans cette atmosphère solennelle
Qui émane des vieux sapins
Nous émouvant soirs et matins…
Jan