Toi dont le coeur fut grand
Soi toujours ainsi !
Toi qui laisser entrer bien plus qu'auparavant
Le centre autour duquel tout gravite et tout brille
Prodigue d'indulgence et de blâme économe,
Car pour garder toujours la beauté de nos âmes,
dans nos battement de coeur où l'immense bruit bourdonne
pour nous tes enfants don s'éteint la flamme
à ce qu'on peut, après Dieu Contempler
l'émotion intérieur prisonnière et bloquer
que l'on s'interdit d'extériorisé.
Toi dont le coeur fut grand
Soi toujours ainsi !
toi qui emportait rêveur nos âmes d'enfant
Pour que s'imprime et dure en nous l'amour ,
l'amour !! Prodigue d'indulgence étincelante vérité,
si pour bon nombre importe que le temps fuit toujours,
Rêves, espoirs, regrets de force dépensée,
et quand chaque bonheur loin de nous deviens sourd
sans qu'il en reste rien qu'un souvenir amer
ou nos yeux perdue du monde qui nous entoure
ne savent plus de la vie contempler la chimère.
Toi dont le coeur fut grand
Soi toujours ainsi !
comprendre l'espoir des efforts étincelant,
embrasser les plaisirs, sans éprouvé l'ennuis
Qui emporte par peur si loin les sentiments.
l'amour fait songer vivre et croire,
tu l'avait en toi dans ton saint esprit,
balayant l'horizon ou l'obscurité s'avance
pour faire place au bonheur qui étale sont espoir
où nos âmes salutaire mot que la foule ignore
réconforte tous ceux échoués sur des rivage
dont l'océan de l'arme à noyer nos courages
nous laissant l'image d'un bien maigre réconfort..
Toi don le coeur fut grand
Soi toujours ainsi !
de souvenir qui avec le temps
laisseront place aux photo jauni
dans la mémoire de tes enfants
où l'espoir fuit lentement et meurt
une sombre lumière dirigeras nos vies
d'une plaie ouverte où saigne nos coeurs
joel payet
Soi toujours ainsi !
Toi qui laisser entrer bien plus qu'auparavant
Le centre autour duquel tout gravite et tout brille
Prodigue d'indulgence et de blâme économe,
Car pour garder toujours la beauté de nos âmes,
dans nos battement de coeur où l'immense bruit bourdonne
pour nous tes enfants don s'éteint la flamme
à ce qu'on peut, après Dieu Contempler
l'émotion intérieur prisonnière et bloquer
que l'on s'interdit d'extériorisé.
Toi dont le coeur fut grand
Soi toujours ainsi !
toi qui emportait rêveur nos âmes d'enfant
Pour que s'imprime et dure en nous l'amour ,
l'amour !! Prodigue d'indulgence étincelante vérité,
si pour bon nombre importe que le temps fuit toujours,
Rêves, espoirs, regrets de force dépensée,
et quand chaque bonheur loin de nous deviens sourd
sans qu'il en reste rien qu'un souvenir amer
ou nos yeux perdue du monde qui nous entoure
ne savent plus de la vie contempler la chimère.
Toi dont le coeur fut grand
Soi toujours ainsi !
comprendre l'espoir des efforts étincelant,
embrasser les plaisirs, sans éprouvé l'ennuis
Qui emporte par peur si loin les sentiments.
l'amour fait songer vivre et croire,
tu l'avait en toi dans ton saint esprit,
balayant l'horizon ou l'obscurité s'avance
pour faire place au bonheur qui étale sont espoir
où nos âmes salutaire mot que la foule ignore
réconforte tous ceux échoués sur des rivage
dont l'océan de l'arme à noyer nos courages
nous laissant l'image d'un bien maigre réconfort..
Toi don le coeur fut grand
Soi toujours ainsi !
de souvenir qui avec le temps
laisseront place aux photo jauni
dans la mémoire de tes enfants
où l'espoir fuit lentement et meurt
une sombre lumière dirigeras nos vies
d'une plaie ouverte où saigne nos coeurs
joel payet