Malgré les fautes dictées
Je t’écrirais chaque soir
Je t’écrirais chaque nuit
Ma vie mon histoire
Pour que tu puisses m’aimé
Sur le blanc, avec du noir
Et malgré les fautes dictées
A mes mots il faut croire
Même sans te voir je t’ai aimé
Même si en moi va pleuvoir
Ton amour, est à l’ abri
Je te parlerai de cet amour
Dans ta vie, que tu as ratai
Je le cache pour toi, dans mon cœur
Depuis la nuit, où tu es née
Cette nuit là, moi, mille morts
A ne pas te voir, j’ai goûté
Je t’écrirais ma fille sois sure
Même faible, cloué au lit
Le corps laid, moitié mort
« Je t’aime » oui je t’écrirais
Malgré cette douleur, que je ressens au cœur
Et le sommeil, qui me fuit
Ni médicament, ni même la mort
On réussi, a me délivré
Avec mes sentiments les plus purs
Et malgré mes fautes dictées
Ma plume, sans voix elle pleure
Elle verse des mots, sur le papier
Je trouverais pour toi les mots
Pour bien m’exprimé
Mes peines, mes tourments
Et les larmes, dans mes nuits
Là devant ton berceau
Je le garde encore, ainsi ta poupée
Sans rien dire, elle me fixe des yeux
Je t’écrirais chaque soir
Je t’écrirais chaque nuit
Ma vie mon histoire
Pour que tu puisses m’aimé
Sur le blanc, avec du noir
Et malgré les fautes dictées
A mes mots il faut croire
Même sans te voir je t’ai aimé
Même si en moi va pleuvoir
Ton amour, est à l’ abri
Je te parlerai de cet amour
Dans ta vie, que tu as ratai
Je le cache pour toi, dans mon cœur
Depuis la nuit, où tu es née
Cette nuit là, moi, mille morts
A ne pas te voir, j’ai goûté
Je t’écrirais ma fille sois sure
Même faible, cloué au lit
Le corps laid, moitié mort
« Je t’aime » oui je t’écrirais
Malgré cette douleur, que je ressens au cœur
Et le sommeil, qui me fuit
Ni médicament, ni même la mort
On réussi, a me délivré
Avec mes sentiments les plus purs
Et malgré mes fautes dictées
Ma plume, sans voix elle pleure
Elle verse des mots, sur le papier
Je trouverais pour toi les mots
Pour bien m’exprimé
Mes peines, mes tourments
Et les larmes, dans mes nuits
Là devant ton berceau
Je le garde encore, ainsi ta poupée
Sans rien dire, elle me fixe des yeux
Je te raconterai ma vie
Mes joies et mes douleurs
Et sur ceux qui m’ont trahi
Malgré mon sincère amour
Ils n’ont pas hésités
A me brisé le cœur
Ce cœur autrefois était
Plein de joie, et d’amour
Oui je te raconterais l’histoire
Qui va surement, te faire pleurer
Les souhaits et les rêves, d’un père
Entre matin et soir, évaporés
Pour que tu puisses me croire
Que je ne t’ai pas abandonnée
Seul à l’hôpital, dans ce couloir
Le docteur, j’ai supplié
Même de loin, qu’il me laisse te voir
Hélas, ni ton corps ni ta voix ni même ton cri
Et face au mur du désespoir
Après la joie, les larmes de douleurs j’ai versé
Je la raconterais quand-même
Même si tes larmes, vont couler
Pour que tu puisses sentir mes flammes
Dans mon cœur, le feu de l’envie
Pardon je le dis, pour les erreurs d’hier
Pourtant moi je t’ai voulue
Brisé il est le cœur de ton père
Pour m’exprimé, il faut quelles genre de mots
J’étais heureux toi dans le ventre de ta mère
Je t’ai sentie même derrière cette peau
Et a chaque nuit, pour toi mille prières
Mais le destin est fort, a voulu autrement
Pardon ma fille pour ma faiblesse
Seul moi j’étais, mais eux nombreux
Je pense à toi, tu sais sans cesse
Même sans te voir, ni même connu
Tu es ma vie, ma seule richesse
Tu vaux plus que l’or et les diamants
Quand je pense à toi, le cœur s’angoisse
De quoi ? Il est fait le cœur de ta maman
Dans mon cœur à moi, tu es la seule rose
Même si tu vis, loin de ma maison
Tant de larmes verser, a chaque prose
La chance m’a laissé, je n’ai que les mots
Je pense tu sais a cette danse
Que je t’ai promis, toi derrière une peau
S’il arrive qu’un jour, nos chemins se croisent
Je te serré très fort, pour oublier le temps
Ce jour-là, mon corps vaincu par la vieillesse
Et les rides ont sculptés ma peau
Ne me fuit pas ma fille si on se croise
J’aimerai bien connaitre tes beaux yeux
Sentir tes mains qui me caressent
Je serai heureux, ce jour-là surement
Et si je meurs, trouve ma fille ma fosse
Et plante une fleur, mais sans larme aux yeux
Car vous étiez ma seule fleur, hélas
Ta mère m’a joué des tours, ainsi le temps
Ne me juge pas, c’est la malchance
Dure avec moi était la vie, je demande pardon
Je t’aime ma fille et a bientôt
Malgré les fautes dictées
Oui je t’écrirais
Je t’aime
Mustapha
Mes joies et mes douleurs
Et sur ceux qui m’ont trahi
Malgré mon sincère amour
Ils n’ont pas hésités
A me brisé le cœur
Ce cœur autrefois était
Plein de joie, et d’amour
Oui je te raconterais l’histoire
Qui va surement, te faire pleurer
Les souhaits et les rêves, d’un père
Entre matin et soir, évaporés
Pour que tu puisses me croire
Que je ne t’ai pas abandonnée
Seul à l’hôpital, dans ce couloir
Le docteur, j’ai supplié
Même de loin, qu’il me laisse te voir
Hélas, ni ton corps ni ta voix ni même ton cri
Et face au mur du désespoir
Après la joie, les larmes de douleurs j’ai versé
Je la raconterais quand-même
Même si tes larmes, vont couler
Pour que tu puisses sentir mes flammes
Dans mon cœur, le feu de l’envie
Pardon je le dis, pour les erreurs d’hier
Pourtant moi je t’ai voulue
Brisé il est le cœur de ton père
Pour m’exprimé, il faut quelles genre de mots
J’étais heureux toi dans le ventre de ta mère
Je t’ai sentie même derrière cette peau
Et a chaque nuit, pour toi mille prières
Mais le destin est fort, a voulu autrement
Pardon ma fille pour ma faiblesse
Seul moi j’étais, mais eux nombreux
Je pense à toi, tu sais sans cesse
Même sans te voir, ni même connu
Tu es ma vie, ma seule richesse
Tu vaux plus que l’or et les diamants
Quand je pense à toi, le cœur s’angoisse
De quoi ? Il est fait le cœur de ta maman
Dans mon cœur à moi, tu es la seule rose
Même si tu vis, loin de ma maison
Tant de larmes verser, a chaque prose
La chance m’a laissé, je n’ai que les mots
Je pense tu sais a cette danse
Que je t’ai promis, toi derrière une peau
S’il arrive qu’un jour, nos chemins se croisent
Je te serré très fort, pour oublier le temps
Ce jour-là, mon corps vaincu par la vieillesse
Et les rides ont sculptés ma peau
Ne me fuit pas ma fille si on se croise
J’aimerai bien connaitre tes beaux yeux
Sentir tes mains qui me caressent
Je serai heureux, ce jour-là surement
Et si je meurs, trouve ma fille ma fosse
Et plante une fleur, mais sans larme aux yeux
Car vous étiez ma seule fleur, hélas
Ta mère m’a joué des tours, ainsi le temps
Ne me juge pas, c’est la malchance
Dure avec moi était la vie, je demande pardon
Je t’aime ma fille et a bientôt
Malgré les fautes dictées
Oui je t’écrirais
Je t’aime
Mustapha
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