Ma vie est morte
Mes yeux, éteint à cette heure
Témoin d'un bout d'âme qui se meurt
Voient de paysage mort
Vestige d'un espoir déjà mort.
La plaine ravagée, ravinée
Par les torrents desséchée, vidés.
La lumière a abdiquée face aux lourds nuages,
Et la poussière couvre les traces du naufrage.
Le vent souffle, brûle j'ai perdu mes larmes.
J'ai tout perdu, vaincu, j'ai posé les armes.
Et la mélancolie, toute puissante reine
Qui dirige ma vie et qui en tient les rênes,
En mon Cœur, habite ce paysage morose.
Où règne cette reine, triste en toute choses,
Je cois la vie pas son esprit et ses yeux,
Et le passé, le présent sont douloureux.
La vie avance immuablement, incontestablement
Et moi je me traîne à sa suite, si lamentablement.
La vie en noir et gris
La vie, morne, sans vie.
Mes yeux, éteint à cette heure
Témoin d'un bout d'âme qui se meurt
Voient de paysage mort
Vestige d'un espoir déjà mort.
La plaine ravagée, ravinée
Par les torrents desséchée, vidés.
La lumière a abdiquée face aux lourds nuages,
Et la poussière couvre les traces du naufrage.
Le vent souffle, brûle j'ai perdu mes larmes.
J'ai tout perdu, vaincu, j'ai posé les armes.
Et la mélancolie, toute puissante reine
Qui dirige ma vie et qui en tient les rênes,
En mon Cœur, habite ce paysage morose.
Où règne cette reine, triste en toute choses,
Je cois la vie pas son esprit et ses yeux,
Et le passé, le présent sont douloureux.
La vie avance immuablement, incontestablement
Et moi je me traîne à sa suite, si lamentablement.
La vie en noir et gris
La vie, morne, sans vie.
Clément.