Ma mort Vitale
La vie dure mais n'indique pas le destin,
Dans l'objet mythique s'écoule le sable,
Et dans mes yeux une rivière débordante de marbre,
Le ciel m'assure que ma vie n'est plus loin.
Sonnent les cloches et vieillisse l'arbre,
Mon heure approche mais rien ne s'alarme.
Les rides au cou, les racines d'un chêne,
Les pleurs du doute et l'âme dans la peur,
Je m'approche bout à bout et livre mon cœur,
Je m'en vais au bord du gouffre, enchaîné dans ma peine.
Sonnent les cloches et vieillisse l'arbre,
Mon heure approche mais rien ne s'alarme.
Le mal m'emporte au-dessous du plus bas,
Face à la porte ai-je vraiment le choix,
Je dessine sur le sol une mer d'âmes.
Sonnent les cloches et vieillisse l'arbre,
Mon heure approche mais rien ne s'alarme.
Tout se décide, ma vie semble être là,
Une silhouette se dessine et m'emmène là-bas,
Je navigue au milieu de ma vie, au monde des larmes.
Sonnent les cloches et vieillisse l'arbre,
Mon heure approche mais rien ne s'alarme.
La vie dure mais n'indique pas le destin,
Dans l'objet mythique s'écoule le sable,
Et dans mes yeux une rivière débordante de marbre,
Le ciel m'assure que ma vie n'est plus loin.
Sonnent les cloches et vieillisse l'arbre,
Mon heure approche mais rien ne s'alarme.
Les rides au cou, les racines d'un chêne,
Les pleurs du doute et l'âme dans la peur,
Je m'approche bout à bout et livre mon cœur,
Je m'en vais au bord du gouffre, enchaîné dans ma peine.
Sonnent les cloches et vieillisse l'arbre,
Mon heure approche mais rien ne s'alarme.
Le mal m'emporte au-dessous du plus bas,
Face à la porte ai-je vraiment le choix,
Je dessine sur le sol une mer d'âmes.
Sonnent les cloches et vieillisse l'arbre,
Mon heure approche mais rien ne s'alarme.
Tout se décide, ma vie semble être là,
Une silhouette se dessine et m'emmène là-bas,
Je navigue au milieu de ma vie, au monde des larmes.
Sonnent les cloches et vieillisse l'arbre,
Mon heure approche mais rien ne s'alarme.