Ma belle Négresse.
Le vent soulève la terre d’Afrique ocrée,
en poussière qui enveloppe les corps cuivrés.
Je m’égards dans les faubourgs de Bouaké,
au son d’une transe fatidique et endiablée.
Tes yeux bridés envoutent mon âme damnée.
La fièvre transcende mes sens en cadence.
L’instant se pose et transpire mon impatience.
Que ma charrue trace de longs sillons alignés.
Je suis sur toi, ma belle négresse, cadeau de tendresse.
Je joue avec tes tresses en toute délicatesse.
De tes jambes tu me serres, m’invite au labour.
Ma belle négresse, tu m’ouvres les portes de l’amour.
Loïc ROUSSELOT
Le vent soulève la terre d’Afrique ocrée,
en poussière qui enveloppe les corps cuivrés.
Je m’égards dans les faubourgs de Bouaké,
au son d’une transe fatidique et endiablée.
Tes yeux bridés envoutent mon âme damnée.
La fièvre transcende mes sens en cadence.
L’instant se pose et transpire mon impatience.
Que ma charrue trace de longs sillons alignés.
Je suis sur toi, ma belle négresse, cadeau de tendresse.
Je joue avec tes tresses en toute délicatesse.
De tes jambes tu me serres, m’invite au labour.
Ma belle négresse, tu m’ouvres les portes de l’amour.
Loïc ROUSSELOT