Luroméo et Juliètalola en humour.
Oh ! Luroméo, admire mes yeux de braises,
Battre des cils quand ta bouche me baise,
Fuyons ! Fuyons ! Mon pèlerin sur la route,
Suivons notre destinée, mais n'oublies pas ta biroute,
Oublions les Capulet, oublions les Montaigu
Laissons-les faire ripaille, ces vrais "m'as tu vu".
Que te dire ma Juliétalola, pour qu'aujourd'hui tu me plaises,
Ebattre mes paupières, éviter que mes yeux louches ne déplaisent,
Et si tu veux repartir, évitons l'Italie, surtout par l'autoroute,
Tu m'as bien estimé et avec mon sonotone, j'écoute,
Qu'importe que ton p'tit stérilet soit grave où aigu,
Faut savoir qu'à leur âge, ils n'ont encore rien vu.
Oh ! Luroméo mon ami, mon amant de Vérone,
Je serais à la hauteur, je serais ton amazone,
Sur ce beau destrier comblons-nous d'amour,
Fait donc Luroméo une halte à ce carrefour,
Oh ! Luroméo, on n'peut pas vivre d'amour et d'eau fraîche,
Allons au bord du ruisseau que l'on pêche.
Et si l'on veut de la marmaille, alors là, je déconne,
Pour toi, ma belle Juliétalola, j'te rejoindrai dans ta zone,
Sur la plus grande échelle de ma voiture de pompier,
Sur la petite corniche de tafenêtre, je serais tout entier,
Quand nous arriverons enfin sur ce grand rond point,
Nous construirons notre chemin et cela point par point,
Ha ! Ha ! Juliétalola, avec toi, seulement de l'humour à la fraîche,
Car tu le sais, avec tes délires, moi, j'ai aussi une belle pêche……
Et pour changer le drame en joie, modifions de l'histoire quelques lignes,
En place de la sinistre mort, préférons donc la vie, on le souligne.
"Juliétalola – reste un peu avec moi ? La nuit commence à peine, j'entend le hululement du grand duc.
Luroméo – C'est ce hibou là-bas qui nous ouvre la nuit, je le devine, moi. Entends donc ces jaloux qui grommellent, ils ne sont pas conscients. La lumière de ce lustre nous accompagnera un bon bout de la nuit. Je reste et nous serons unis."
Le destin de deux familles serait ainsi changé,
Pour la plus belle des grandes destinées.
Lilasys et Luron1er
Oh ! Luroméo, admire mes yeux de braises,
Battre des cils quand ta bouche me baise,
Fuyons ! Fuyons ! Mon pèlerin sur la route,
Suivons notre destinée, mais n'oublies pas ta biroute,
Oublions les Capulet, oublions les Montaigu
Laissons-les faire ripaille, ces vrais "m'as tu vu".
Que te dire ma Juliétalola, pour qu'aujourd'hui tu me plaises,
Ebattre mes paupières, éviter que mes yeux louches ne déplaisent,
Et si tu veux repartir, évitons l'Italie, surtout par l'autoroute,
Tu m'as bien estimé et avec mon sonotone, j'écoute,
Qu'importe que ton p'tit stérilet soit grave où aigu,
Faut savoir qu'à leur âge, ils n'ont encore rien vu.
Oh ! Luroméo mon ami, mon amant de Vérone,
Je serais à la hauteur, je serais ton amazone,
Sur ce beau destrier comblons-nous d'amour,
Fait donc Luroméo une halte à ce carrefour,
Oh ! Luroméo, on n'peut pas vivre d'amour et d'eau fraîche,
Allons au bord du ruisseau que l'on pêche.
Et si l'on veut de la marmaille, alors là, je déconne,
Pour toi, ma belle Juliétalola, j'te rejoindrai dans ta zone,
Sur la plus grande échelle de ma voiture de pompier,
Sur la petite corniche de tafenêtre, je serais tout entier,
Quand nous arriverons enfin sur ce grand rond point,
Nous construirons notre chemin et cela point par point,
Ha ! Ha ! Juliétalola, avec toi, seulement de l'humour à la fraîche,
Car tu le sais, avec tes délires, moi, j'ai aussi une belle pêche……
Et pour changer le drame en joie, modifions de l'histoire quelques lignes,
En place de la sinistre mort, préférons donc la vie, on le souligne.
"Juliétalola – reste un peu avec moi ? La nuit commence à peine, j'entend le hululement du grand duc.
Luroméo – C'est ce hibou là-bas qui nous ouvre la nuit, je le devine, moi. Entends donc ces jaloux qui grommellent, ils ne sont pas conscients. La lumière de ce lustre nous accompagnera un bon bout de la nuit. Je reste et nous serons unis."
Le destin de deux familles serait ainsi changé,
Pour la plus belle des grandes destinées.
Lilasys et Luron1er
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