L’ordre naturel
Au-delà des couleurs du temps,
Dans la douleur d’un printemps,
Les offrandes se font journalières,
Cet échange qui ne date pas d’hier,
Les murs se sont battis un jour,
Le toit se plaça au dessus,
Dans un ordre venant de nature,
Rien ne se construit dans l’obtus,
Par les fenêtres, la lumière passe,
C’est suffisant pour y voir clair,
Rideaux à l’ombre de la chair,
D’aucun ne voit se qui se passe,
Partant du sablier d’argent,
Là où le temps passe lentement,
Ce qui ennuie doit passer vite,
Que la vie jamais ne t’évite.
Au-delà des couleurs du temps,
Dans la douleur d’un printemps,
Les offrandes se font journalières,
Cet échange qui ne date pas d’hier,
Les murs se sont battis un jour,
Le toit se plaça au dessus,
Dans un ordre venant de nature,
Rien ne se construit dans l’obtus,
Par les fenêtres, la lumière passe,
C’est suffisant pour y voir clair,
Rideaux à l’ombre de la chair,
D’aucun ne voit se qui se passe,
Partant du sablier d’argent,
Là où le temps passe lentement,
Ce qui ennuie doit passer vite,
Que la vie jamais ne t’évite.