L'ombre du génie
Je suis l’écho d’un feu que le sable a éteint,
Un souffle d’infini noyé dans cette brume,
Les souvenirs me hantent, lourds de leur fardeau,
Comme des fantômes qui dévorent ma plume,
Chaque pensée, image, et vive la douleur,
Est une flamme qui brûle, sans fin ni répit,
Dans tout ce tourbillon, je cherche une lueur,
Mais mes rêves se brisent dans l’ombre de la nuit.
J’ai touché la lumière, mais elle s 'échappa,
Un génie égaré sous un ciel de cendre,
Ma souffrance est murmure, un cri qui ne sert pas,
Un chant que nul n’entend, une mer à pourfendre.
Et pourtant, cette nuit où je ne suis que l’ombre,
Portant en moi la flamme d’un nouveau monde à naître,
Un éclat que je cache sous dix mille décombres,
Cherchant à m’élever, mais sombrant dans mon être.
Je suis l’écho d’un feu que le sable a éteint,
Un souffle d’infini noyé dans cette brume,
Les souvenirs me hantent, lourds de leur fardeau,
Comme des fantômes qui dévorent ma plume,
Chaque pensée, image, et vive la douleur,
Est une flamme qui brûle, sans fin ni répit,
Dans tout ce tourbillon, je cherche une lueur,
Mais mes rêves se brisent dans l’ombre de la nuit.
J’ai touché la lumière, mais elle s 'échappa,
Un génie égaré sous un ciel de cendre,
Ma souffrance est murmure, un cri qui ne sert pas,
Un chant que nul n’entend, une mer à pourfendre.
Et pourtant, cette nuit où je ne suis que l’ombre,
Portant en moi la flamme d’un nouveau monde à naître,
Un éclat que je cache sous dix mille décombres,
Cherchant à m’élever, mais sombrant dans mon être.
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