Suggestion de MysTerre
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Concours du : 8 au 18 Septembre 2015
( envois de vos poèmes sur ma MP )
Résultats le : 20 Septembre 2015
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Thème :
" l'oiseau imaginaire "
*
Faites-nous rêver en mettant en scène l'oiseau féérique de votre choix...
*
Contraintes : Rimes embrassées ( ABBA )
Attention aux fautes, à la ponctuation,
Ecrits non signés
*
Vos poèmes seront notés avec impartialité et selon les consignes énoncées ci-dessus
Chef du jury : Lys
*
A vos plumes légères et féériques !
*
Participant(e)s
*
Mohamen ... 7,96 /10
Poème original tout en subtilité
( attrait ne rime pas avec contrées, quelques rimes pauvres )
Un oiseau qui nous fait faire le tour du monde sur les « ailes » de son imagination,
ton exclamatif qui montre l'étonnement, l'admiration, poème admirable.
Se lit avec plaisir.
1 ... Une aile pas comme les autres
Rouge-gorge, non, mais sans ailes
Son nid est entre deux piliers,
Il a la forme d'un voilier.
Et l'on atteint le septième ciel !
Né libre, il n'aime les cages,
L'amour est son chant spécifique,
Le même en Asie et en Afrique,
Souvent brillant sur belles pages !
Il suffit de mains qui caressent
Et Sésame ouvre ses portes.
Oh secousses douces et fortes !
Et revoit sa fierté la Grèce.
Monsieur cœur n'est las, il s'enivre
Régalé et il se libère
Loin des peines, loin de la terre
En Alaska, il n'y a de givre !
Oh miel du rythme saccadé
Menant vers ces autres contrées !
Sont parfaits le goût et l'attrait.
Oh oiseau de pluie bombardé !
La nuit, voyager avec charme,
On se libère de ses chaînes.
Sont derrière toutes les peines
Et Morphée défie les vacarmes.
********
Vanel ... 8,01 /10
Magique, ( ne riment pas ; passé et communié )
Oiseau de mythologie qui sublime l'immortalité de l'amour, belle plume poétique.
Un Phénix à la bien belle allure
2 ... Envole toi ! Phénix de l'amour
Accroché à ce mystérieux passé
Brûlant d'amour pour celle qui te regarde,
En secouant tes ailes, l'amour parle
Nos belles plumes ont communié.
A ta renaissance la flamme jaillit
L'ombre de mon corps a fusionné
De ton regard, notre lumière est née,
Phénix, depuis la guerre, c'est fini.
Je te regarde partir... Quelle tendresse
Voyant les flammes te suivre, je savoure
Envole toi ! Phénix de l'amour,
Brûlé le cœur de ta déesse.
Dans la nuit une étoile brille
Aussi rouge que ma plume,
Mon cœur se vide et se consume
De ta flamme qui scintille
********
Llumièrelive ... 8,35 /10
Médaille d'ARGENT
Un écrit poignant d'une grande beauté
(ne riment pas ; lumière et terre ,
rimes n'ayant pas la même phonétique ; symbole et épaule )
Une plume qui écrit avec beaucoup d'aisance
sur un oiseau qu'on pressent comme un ami,
avec lui, la mort semble si douce
et les contrées inconnues en confiance.
Belle poésie.
Plein, plein de douceur -
Tout en simplicité
3 ... Oiseau de l’au-delà
Je ne sais par quel hasard se sont croisés nos chemins,
Il venait de tomber du nid et semblait si fragile,
Je ramassais son petit corps de mes mains mal agiles
Lui promettant bel avenir et meilleurs lendemains,
Je l’ai nourri de mie trempée, de ma bouche à son bec
Percevant avec émoi les battements de son cœur,
Renouvelant ces gestes de survie à toute heure
Mais je redoutais que mes soins ne soient voués à l’échec,
Cet oisillon sans défense paré d’un rare duvet
A conquis force et vitalité aux trames des jours,
En l’ornement d’un plumage irisé de mille atours
Les couleurs du monde avaient du veiller sur son chevet,
A regret je lui ai fait prendre son premier envol
Car son regard vif reflétant le ciel me l’implorait
Et son envergure impressionnante me l’ordonnait,
C’est ainsi qu’il rejoignit l’horizon sans nul licol,
Je comptais et je passais mon temps à scruter les cieux
En l’espérance de son retour même provisoire,
Mon attente a été récompensée de mes déboires
M’était il revenu grâce aux invocations à dieu ?
Il s’est doucement posé et blotti sur mon épaule
Me chuchotant qu’un jour certain il viendrait me chercher
« Tu as encore du chemin à parcourir sans te cacher »
Il m’a caressé la joue comme d’un baiser le symbole,
Le temps s’est écoulé, je suis lasse et si fatiguée,
Sur ses ailes il m’emmènera faire le grand voyage
Celui du non retour qui conduit sur l’autre rivage,
Pourvu qu’il arrive qu’il vienne et ne m’ait pas reléguée…
Dans le bleu azuré, soudain un éclair argenté,
En le rayonnement d’une couronne de lumière
Il est là…c’est bien lui…nous allons survoler la terre,
Parmi les âmes disparues il va me déposer…
********
Janu ... 6;48 /10
Poème superbe, érudition remarquable,
quel dommage qu'il soit écrit en rimes alternées !
( Ne riment pas ; Alcyon et océan )
Rimes non respectées, vraiment dommage,
parce que cet oiseau m'a fait rêver,
écriture très riche.
Rimes en ABAB et non en ABBA comme demandé,
dommage Vraiment !
4 ... " L'oiseau imaginaire "
Chénier m'a fait rêver avec ses « doux Alcyons »
Les oiseaux mythiques de la légende Grecque
Histoire compliquée en nombreuses versions
Cette mythologie à la fin nous embecque
Pourquoi faut-il pleurer si l'on est un alcyon
Cet oiseau fabuleux que conte la légende
Est-il martin pêcheur au ras de l'océan
Où quand les eaux sont calmes il cherche sa prébende ?
Ceux que l'on aperçoit : des flèches de couleurs
Au vol acrobatique et des ailes vibrantes
Avec des sifflements n'amènent pas des pleurs
Dans mon rêve l'oiseau a des ailes géantes
Ce n'est pas l'albatros « vaste oiseau des mers »
Si cher à Baudelaire mais qui ne vit qu'au large
D'ailleurs mon rêve à moi n'a rien de si amer
Et pour ma féerie ne pas le prendre en charge
Peut-être un cygne, oiseau majestueux
Qui glisse sur les eaux, et qui parfois s'envole
Dans un bruissement d'ailes rejoignant d'autres lieux
Mais pour un nid sur l'eau ce n'est que fariboles
C'est alors que je pense à cet « oiseau de feu »
Légendaire en Russie aux plumes rougeoyantes
Ballet de Diaghilev repassé il y a peu
Dans le jardin mythique sa capture est tentante
Mais si on le poursuit la punition des Dieux
Être changé en pierre sauf si une Princesse
Intercède pour vous et que par un non lieu
Terminé en mariage, tout finisse dans la liesse !
Rouge-gorge, non, mais sans ailes
Son nid est entre deux piliers,
Il a la forme d'un voilier.
Et l'on atteint le septième ciel !
Né libre, il n'aime les cages,
L'amour est son chant spécifique,
Le même en Asie et en Afrique,
Souvent brillant sur belles pages !
Il suffit de mains qui caressent
Et Sésame ouvre ses portes.
Oh secousses douces et fortes !
Et revoit sa fierté la Grèce.
Monsieur cœur n'est las, il s'enivre
Régalé et il se libère
Loin des peines, loin de la terre
En Alaska, il n'y a de givre !
Oh miel du rythme saccadé
Menant vers ces autres contrées !
Sont parfaits le goût et l'attrait.
Oh oiseau de pluie bombardé !
La nuit, voyager avec charme,
On se libère de ses chaînes.
Sont derrière toutes les peines
Et Morphée défie les vacarmes.
********
Vanel ... 8,01 /10
Magique, ( ne riment pas ; passé et communié )
Oiseau de mythologie qui sublime l'immortalité de l'amour, belle plume poétique.
Un Phénix à la bien belle allure
2 ... Envole toi ! Phénix de l'amour
Accroché à ce mystérieux passé
Brûlant d'amour pour celle qui te regarde,
En secouant tes ailes, l'amour parle
Nos belles plumes ont communié.
A ta renaissance la flamme jaillit
L'ombre de mon corps a fusionné
De ton regard, notre lumière est née,
Phénix, depuis la guerre, c'est fini.
Je te regarde partir... Quelle tendresse
Voyant les flammes te suivre, je savoure
Envole toi ! Phénix de l'amour,
Brûlé le cœur de ta déesse.
Dans la nuit une étoile brille
Aussi rouge que ma plume,
Mon cœur se vide et se consume
De ta flamme qui scintille
********
Llumièrelive ... 8,35 /10
Médaille d'ARGENT
Un écrit poignant d'une grande beauté
(ne riment pas ; lumière et terre ,
rimes n'ayant pas la même phonétique ; symbole et épaule )
Une plume qui écrit avec beaucoup d'aisance
sur un oiseau qu'on pressent comme un ami,
avec lui, la mort semble si douce
et les contrées inconnues en confiance.
Belle poésie.
Plein, plein de douceur -
Tout en simplicité
3 ... Oiseau de l’au-delà
Je ne sais par quel hasard se sont croisés nos chemins,
Il venait de tomber du nid et semblait si fragile,
Je ramassais son petit corps de mes mains mal agiles
Lui promettant bel avenir et meilleurs lendemains,
Je l’ai nourri de mie trempée, de ma bouche à son bec
Percevant avec émoi les battements de son cœur,
Renouvelant ces gestes de survie à toute heure
Mais je redoutais que mes soins ne soient voués à l’échec,
Cet oisillon sans défense paré d’un rare duvet
A conquis force et vitalité aux trames des jours,
En l’ornement d’un plumage irisé de mille atours
Les couleurs du monde avaient du veiller sur son chevet,
A regret je lui ai fait prendre son premier envol
Car son regard vif reflétant le ciel me l’implorait
Et son envergure impressionnante me l’ordonnait,
C’est ainsi qu’il rejoignit l’horizon sans nul licol,
Je comptais et je passais mon temps à scruter les cieux
En l’espérance de son retour même provisoire,
Mon attente a été récompensée de mes déboires
M’était il revenu grâce aux invocations à dieu ?
Il s’est doucement posé et blotti sur mon épaule
Me chuchotant qu’un jour certain il viendrait me chercher
« Tu as encore du chemin à parcourir sans te cacher »
Il m’a caressé la joue comme d’un baiser le symbole,
Le temps s’est écoulé, je suis lasse et si fatiguée,
Sur ses ailes il m’emmènera faire le grand voyage
Celui du non retour qui conduit sur l’autre rivage,
Pourvu qu’il arrive qu’il vienne et ne m’ait pas reléguée…
Dans le bleu azuré, soudain un éclair argenté,
En le rayonnement d’une couronne de lumière
Il est là…c’est bien lui…nous allons survoler la terre,
Parmi les âmes disparues il va me déposer…
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Janu ... 6;48 /10
Poème superbe, érudition remarquable,
quel dommage qu'il soit écrit en rimes alternées !
( Ne riment pas ; Alcyon et océan )
Rimes non respectées, vraiment dommage,
parce que cet oiseau m'a fait rêver,
écriture très riche.
Rimes en ABAB et non en ABBA comme demandé,
dommage Vraiment !
4 ... " L'oiseau imaginaire "
Chénier m'a fait rêver avec ses « doux Alcyons »
Les oiseaux mythiques de la légende Grecque
Histoire compliquée en nombreuses versions
Cette mythologie à la fin nous embecque
Pourquoi faut-il pleurer si l'on est un alcyon
Cet oiseau fabuleux que conte la légende
Est-il martin pêcheur au ras de l'océan
Où quand les eaux sont calmes il cherche sa prébende ?
Ceux que l'on aperçoit : des flèches de couleurs
Au vol acrobatique et des ailes vibrantes
Avec des sifflements n'amènent pas des pleurs
Dans mon rêve l'oiseau a des ailes géantes
Ce n'est pas l'albatros « vaste oiseau des mers »
Si cher à Baudelaire mais qui ne vit qu'au large
D'ailleurs mon rêve à moi n'a rien de si amer
Et pour ma féerie ne pas le prendre en charge
Peut-être un cygne, oiseau majestueux
Qui glisse sur les eaux, et qui parfois s'envole
Dans un bruissement d'ailes rejoignant d'autres lieux
Mais pour un nid sur l'eau ce n'est que fariboles
C'est alors que je pense à cet « oiseau de feu »
Légendaire en Russie aux plumes rougeoyantes
Ballet de Diaghilev repassé il y a peu
Dans le jardin mythique sa capture est tentante
Mais si on le poursuit la punition des Dieux
Être changé en pierre sauf si une Princesse
Intercède pour vous et que par un non lieu
Terminé en mariage, tout finisse dans la liesse !
********
MysTerre ... 8,10 /10
Un écrit enchanteur plein de douceur.
C'est féérique, aérien, coloré, tout en mouvement.
Une douceur de lecture, j'en suis conquise.
L'oiseau lune m'a enchanté également
5 ... L'oiseau lune.
Flamme vive et sans un cri
Un très bel oiseau radieux
Vient de traverser les cieux
Pour se poser sur mon lit.
Des étoiles plein les plumes
L'oiseau lune, près de moi
M'enchante! Tout comme autrefois
Pour lui, mon regard s'allume.
Puis il pose une rose d'or
Délicatement sur mon cœur
Et j'irradie de bonheur
Là, sereine, je m'endors.
Et pendant que je sommeille
Je souris, car dans la nuit
Avec lui mon rêve s'enfuit
Vers un ailleurs! Ô merveille!
Je vois l’oiseau arc-en-ciel
Qui me dessine dans l’azur
Un cœur de diamants si purs,
Rien que pour moi, dans le ciel.
Puis, dans un ballet à deux
De leurs ailes si flamboyantes
Caressent mon âme qui chante
Et j'en deviens amoureux.
********
Maryvelo ... 7,18 /10
Poème plein de mystère,
( Ne riment pas ; Vision et saison, ocres et manioc...assonance ? )
L'oiseau est aussi flamboyant que la saison qui s'annonce à nous,
l'imagination fait rêver le lecteur.
De belles métaphores illuminent ce texte
6 ... Nicole et l'oiseau d'automne.
En promenade sous l'archange des saisons,
Des tons chauds et chatoyants,
Des parfums d'épices en pigments,
Empourprent ses yeux de mille visions.
Le bruissement d'un souple battement d'ailes,
Déployant des couleurs ambrées et ocres
Ou grisé par les astres du manioc...
L'oiseau, féerique, magique; mais de quel archipel ?
L'oiseau majestueux l'envoûte dans son monde,
L'enveloppe de calme et de bonheur.
Pour visiter l'automne, providence de splendeur,
Elle voyage entre ciel et terre sur ses ondes.
Ô ! volupté, légèreté, fébrilité...
Un flot d'images qui ne tarit pas.
Elle ferme les paupières jusqu'à trépas,
De son bec il l'abreuve de gouttelettes argentées.
Cet oiseau d'envergure, est un délice au vol.
Elle en perd la vue, pour mieux observer la clarté,
Qui défile en éclairs d'orange safranée.
Serais-ce le paradis ? s'interroge Nicole.
Lovée au sein de son sensitif plumage,
Elle, l'humaine et l'oiseau vivent l'osmose.
Comme la saison est en métamorphose,
Le volatile, n'a pas de nom, n'a pas d'âge.
Ce bel emplumé miraculeux, sera-t-il intemporel ?
Serait-ce son ange, ou est elle son ange ?
A t-elle un satellite en tête qui dérange ?
De l'hiver, du printemps et de l'été, lui reviendra t-il aussi sensuel ?
********
Colombe67 ... 7,96 /10
De belles images, beaucoup de sensibilité et de beaux sentiments.
Vers courts, Le titre du poème à lui seul donne une tonalité paisible aux vers.
Ici l'imagination se veut bienfaitrice, espérance.
Beau poème.
Une colombe de paix que l'on aimerait voir en tous lieux
MysTerre ... 8,10 /10
Un écrit enchanteur plein de douceur.
C'est féérique, aérien, coloré, tout en mouvement.
Une douceur de lecture, j'en suis conquise.
L'oiseau lune m'a enchanté également
5 ... L'oiseau lune.
Flamme vive et sans un cri
Un très bel oiseau radieux
Vient de traverser les cieux
Pour se poser sur mon lit.
Des étoiles plein les plumes
L'oiseau lune, près de moi
M'enchante! Tout comme autrefois
Pour lui, mon regard s'allume.
Puis il pose une rose d'or
Délicatement sur mon cœur
Et j'irradie de bonheur
Là, sereine, je m'endors.
Et pendant que je sommeille
Je souris, car dans la nuit
Avec lui mon rêve s'enfuit
Vers un ailleurs! Ô merveille!
Je vois l’oiseau arc-en-ciel
Qui me dessine dans l’azur
Un cœur de diamants si purs,
Rien que pour moi, dans le ciel.
Puis, dans un ballet à deux
De leurs ailes si flamboyantes
Caressent mon âme qui chante
Et j'en deviens amoureux.
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Maryvelo ... 7,18 /10
Poème plein de mystère,
( Ne riment pas ; Vision et saison, ocres et manioc...assonance ? )
L'oiseau est aussi flamboyant que la saison qui s'annonce à nous,
l'imagination fait rêver le lecteur.
De belles métaphores illuminent ce texte
6 ... Nicole et l'oiseau d'automne.
En promenade sous l'archange des saisons,
Des tons chauds et chatoyants,
Des parfums d'épices en pigments,
Empourprent ses yeux de mille visions.
Le bruissement d'un souple battement d'ailes,
Déployant des couleurs ambrées et ocres
Ou grisé par les astres du manioc...
L'oiseau, féerique, magique; mais de quel archipel ?
L'oiseau majestueux l'envoûte dans son monde,
L'enveloppe de calme et de bonheur.
Pour visiter l'automne, providence de splendeur,
Elle voyage entre ciel et terre sur ses ondes.
Ô ! volupté, légèreté, fébrilité...
Un flot d'images qui ne tarit pas.
Elle ferme les paupières jusqu'à trépas,
De son bec il l'abreuve de gouttelettes argentées.
Cet oiseau d'envergure, est un délice au vol.
Elle en perd la vue, pour mieux observer la clarté,
Qui défile en éclairs d'orange safranée.
Serais-ce le paradis ? s'interroge Nicole.
Lovée au sein de son sensitif plumage,
Elle, l'humaine et l'oiseau vivent l'osmose.
Comme la saison est en métamorphose,
Le volatile, n'a pas de nom, n'a pas d'âge.
Ce bel emplumé miraculeux, sera-t-il intemporel ?
Serait-ce son ange, ou est elle son ange ?
A t-elle un satellite en tête qui dérange ?
De l'hiver, du printemps et de l'été, lui reviendra t-il aussi sensuel ?
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Colombe67 ... 7,96 /10
De belles images, beaucoup de sensibilité et de beaux sentiments.
Vers courts, Le titre du poème à lui seul donne une tonalité paisible aux vers.
Ici l'imagination se veut bienfaitrice, espérance.
Beau poème.
Une colombe de paix que l'on aimerait voir en tous lieux
7 ... Colombe de paix.
Je voudrais être une colombe,
Volant au dessus d'un volcan,
Avoir le cœur pur d'un enfant.
Avant que le jour ne tombe
Sur les montagnes et les vallées.
Je planerais au-dessus des champs,
Au-delà de la terre et du temps,
Sur la mer, contre vents et marées.
Aux saisons, j'offrirais des couleurs
Et aux hommes la guérison,
J'effacerais leur déraison,
Pour des lendemains meilleurs,
Et chemin faisant, sous la pluie,
Je déposerais force et courage
Pour leurs jours d'orage,
Soufflerais sur leurs ennuis.
Sur les terres arides j'irais
Déposer des sourires et des fleurs
A la place de leurs douleurs,
Vers d'autres cieux m'envolerais
Pour aider les âmes meurtries,
Par les gens, le temps, les saisons,
J’appellerais la lumière à l'horizon
De cette terre assombrie.
Je serais l'oiseau de la paix,
Afin que la chaleur inonde
Le cœur blessé du monde,
Puis je disparaîtrais.
********
Mowjo ... 6,46 /10
Poème un peu court mettant en scène ce grand rapace le Roc, mais très original.
Ce poème manque de développement,
assez loin du thème parce qu'il ne l'évoque qu'à peine.
Un peu court - dommage !
8... Cocody Roc
Oh, un bateau pour Cocody Roc.
Je presse le pas,
Je le prends par le mât :
C'est mon repas de choc.
Oh mon bateau ! Pas de troc.
Je le garde pour moi,
Je suis l'oiseau roi :
C'est mon destin de Rokh.
Gronde, gronde l'orage
Cocody Roc est souvenir d'enfant
Mais Cocody Roc est apaisant
Alors je m'endors, sage.
********
Lecoeurentrelesmains ... 7,60 /10
Belle imagination.
( ne riment pas ; dansant et tournoyant )
Une belle histoire qui virevolte dans un vent poétique,
le lecteur est pris dans le tourbillon de votre imagination.
( un tiret à « chez moi » pour seule faute )
Une bien belle imagination
9 ... Le baryton trublion
Il s’était posé un soir d’été brûlant,
Sur les remparts froids de mon haut balcon,
Le dos couvert de plumes rappelant les flocons
Qui habillent les pics des montagnes de blanc.
Il a ouvert au vent ses ailes d’argent,
Son ventre portait des notes telle une toison,
Il s’est mit à siffler une douce chanson
De son long bec de cristal éclatant
Tout autour de moi se sont élevés dansants
En entendant son fort chant de baryton
Chaque objet présent dans ma petite maison
Chats et poissons volaient aussi en tournoyant
Moi-même je commençais à planer doucement
À un moment j’ai fini par toucher le plafond
Et de là, j’ai vu apparaître un second
Plus imposant et d’un pelage éblouissant
D’un air inquiet, furieux il becte son enfant
D’être parti sans demander la permission,
Il se tourne vers moi, me tend une partition
Me demandant de taire ce fâcheux incident,
Terrifiée, j’ai acquiescé sans perdre de temps
Alors il a mis sa patte d’or sur l’oisillon,
Fait un bruit rappelant celui des carillons,
Cela en fermant ses yeux brillants de diamant,
Je me suis retrouvée au sol, en me levant
Chez-moi plus de lévitation, ni tourbillon
Encore moins d’oiseaux argentés et trublion
Juste une histoire imaginaire sans fondement.
*********
MysTerre ... 8,38 /10 Médaille d'OR
Un écrit délicat, apaisant menant au bonheur, de très belles images
( ne riment pas ; suie et vie , majestueux et cieux )
Poème en « hexasyllabe » qui en fait un écrit très rapide à lire, tout en rythme.
Belle cadence. Un oiseau bleu porteur d'espoir qui m'a séduit. Bien rythmé.
10 ... Mon bel oiseau bleu
Lorsque j'étais enfant
Je courais dans le vent
Il m'arrivait souvent
De rêver, tout en jouant.
Dans mon imaginaire
Il venait me rejoindre
Je n'avais rien à craindre
De cet oiseau solaire.
Puis il s'est envolé
Un jour, vers l'infini
Me laissant seule ici
Au ciel, il est monté.
_ Tu me manques parfois
Je traîne dans la vie
Mes larmes couleur de suie.
J'ai même perdu la foi.
_ Mon bel oiseau tout bleu
Sans toi, mon âme chancelle
Tu tires sur la ficelle
De mon cœur malheureux.
_ Si tu venais me voir
Bel oiseau majestueux
Du plus profond des cieux
Pour me rejoindre ce soir.
Sous la voûte étoilée
Je ne l'attendais plus
Pourtant je l'ai revu
Dans mon conte de fée.
Par son baiser de plume
Sur ma joue, l'oiseau bleu
Rends l'instant merveilleux
Quand je sors de la brume.
Lorsque j'ouvre les yeux
Mon ami de la nuit
Vers son pays, s'enfuit
Toujours aussi radieux.
Il reviendra un jour
Cet oiseau étonnant
Au regard rayonnant
Me conter ses amours.
********
Zuc ... 8,30 /10
Médaille de BRONZE
Un symbole très fort, des répétitions tels des battements d'aile...Bravo !
Un poème qui se démarque des autres, par un style personnel,
la répétition verbale en chaque quatrain donne du rythme,
de l'envol, du lyrisme, et du poids à la lecture ( éventuelle faute ; " aire " ou air ?)
Ai beaucoup aimé sa construction, son ascension poétique.
Un oiseau couleur liberté, c'est beau !
11 ... L'oiseau de la liberté
Il vole, vole jamais ne s'affole,
Tournoie et virevolte au dessus des eaux,
Même sur la plaine ou croasse le corbeau,
Du pôle nord au pôle sud, rigole,
Il chante, chante la délirante,
Aux balcons des demoiselles,
Une mélopée si naturelle,
Celles qui pucelles ne laissera vibrante,
Il se moque, moque de petits coqs,
Aux chasseurs décroche le pied de nez,
De ses plumes aimeriez vous pavaner,
A cache cache joue le soliloque,
Il siffle, siffle en merle moqueur
Aux amis de la liberté son bec est d'ivoire,
Il sera de bois pour ceux qui condamnent l'espoir,
En cage jamais, jamais n'accrocherez ses couleurs,
Rare, rare il est l'oiseau
En nos têtes imaginaire,
Libre, libre comme l'aire,
Rend, rend le monde plus beau
Il est l'oiseau de la liberté
********
Bravo ! à tous
Merci pour ces magnifiques lectures
Lys
********
Rendez-vous chez Llumièrelive pour un nouveau concours
" La passion de l'écriture "
Je voudrais être une colombe,
Volant au dessus d'un volcan,
Avoir le cœur pur d'un enfant.
Avant que le jour ne tombe
Sur les montagnes et les vallées.
Je planerais au-dessus des champs,
Au-delà de la terre et du temps,
Sur la mer, contre vents et marées.
Aux saisons, j'offrirais des couleurs
Et aux hommes la guérison,
J'effacerais leur déraison,
Pour des lendemains meilleurs,
Et chemin faisant, sous la pluie,
Je déposerais force et courage
Pour leurs jours d'orage,
Soufflerais sur leurs ennuis.
Sur les terres arides j'irais
Déposer des sourires et des fleurs
A la place de leurs douleurs,
Vers d'autres cieux m'envolerais
Pour aider les âmes meurtries,
Par les gens, le temps, les saisons,
J’appellerais la lumière à l'horizon
De cette terre assombrie.
Je serais l'oiseau de la paix,
Afin que la chaleur inonde
Le cœur blessé du monde,
Puis je disparaîtrais.
********
Mowjo ... 6,46 /10
Poème un peu court mettant en scène ce grand rapace le Roc, mais très original.
Ce poème manque de développement,
assez loin du thème parce qu'il ne l'évoque qu'à peine.
Un peu court - dommage !
8... Cocody Roc
Oh, un bateau pour Cocody Roc.
Je presse le pas,
Je le prends par le mât :
C'est mon repas de choc.
Oh mon bateau ! Pas de troc.
Je le garde pour moi,
Je suis l'oiseau roi :
C'est mon destin de Rokh.
Gronde, gronde l'orage
Cocody Roc est souvenir d'enfant
Mais Cocody Roc est apaisant
Alors je m'endors, sage.
********
Lecoeurentrelesmains ... 7,60 /10
Belle imagination.
( ne riment pas ; dansant et tournoyant )
Une belle histoire qui virevolte dans un vent poétique,
le lecteur est pris dans le tourbillon de votre imagination.
( un tiret à « chez moi » pour seule faute )
Une bien belle imagination
9 ... Le baryton trublion
Il s’était posé un soir d’été brûlant,
Sur les remparts froids de mon haut balcon,
Le dos couvert de plumes rappelant les flocons
Qui habillent les pics des montagnes de blanc.
Il a ouvert au vent ses ailes d’argent,
Son ventre portait des notes telle une toison,
Il s’est mit à siffler une douce chanson
De son long bec de cristal éclatant
Tout autour de moi se sont élevés dansants
En entendant son fort chant de baryton
Chaque objet présent dans ma petite maison
Chats et poissons volaient aussi en tournoyant
Moi-même je commençais à planer doucement
À un moment j’ai fini par toucher le plafond
Et de là, j’ai vu apparaître un second
Plus imposant et d’un pelage éblouissant
D’un air inquiet, furieux il becte son enfant
D’être parti sans demander la permission,
Il se tourne vers moi, me tend une partition
Me demandant de taire ce fâcheux incident,
Terrifiée, j’ai acquiescé sans perdre de temps
Alors il a mis sa patte d’or sur l’oisillon,
Fait un bruit rappelant celui des carillons,
Cela en fermant ses yeux brillants de diamant,
Je me suis retrouvée au sol, en me levant
Chez-moi plus de lévitation, ni tourbillon
Encore moins d’oiseaux argentés et trublion
Juste une histoire imaginaire sans fondement.
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MysTerre ... 8,38 /10 Médaille d'OR
Un écrit délicat, apaisant menant au bonheur, de très belles images
( ne riment pas ; suie et vie , majestueux et cieux )
Poème en « hexasyllabe » qui en fait un écrit très rapide à lire, tout en rythme.
Belle cadence. Un oiseau bleu porteur d'espoir qui m'a séduit. Bien rythmé.
10 ... Mon bel oiseau bleu
Lorsque j'étais enfant
Je courais dans le vent
Il m'arrivait souvent
De rêver, tout en jouant.
Dans mon imaginaire
Il venait me rejoindre
Je n'avais rien à craindre
De cet oiseau solaire.
Puis il s'est envolé
Un jour, vers l'infini
Me laissant seule ici
Au ciel, il est monté.
_ Tu me manques parfois
Je traîne dans la vie
Mes larmes couleur de suie.
J'ai même perdu la foi.
_ Mon bel oiseau tout bleu
Sans toi, mon âme chancelle
Tu tires sur la ficelle
De mon cœur malheureux.
_ Si tu venais me voir
Bel oiseau majestueux
Du plus profond des cieux
Pour me rejoindre ce soir.
Sous la voûte étoilée
Je ne l'attendais plus
Pourtant je l'ai revu
Dans mon conte de fée.
Par son baiser de plume
Sur ma joue, l'oiseau bleu
Rends l'instant merveilleux
Quand je sors de la brume.
Lorsque j'ouvre les yeux
Mon ami de la nuit
Vers son pays, s'enfuit
Toujours aussi radieux.
Il reviendra un jour
Cet oiseau étonnant
Au regard rayonnant
Me conter ses amours.
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Zuc ... 8,30 /10
Médaille de BRONZE
Un symbole très fort, des répétitions tels des battements d'aile...Bravo !
Un poème qui se démarque des autres, par un style personnel,
la répétition verbale en chaque quatrain donne du rythme,
de l'envol, du lyrisme, et du poids à la lecture ( éventuelle faute ; " aire " ou air ?)
Ai beaucoup aimé sa construction, son ascension poétique.
Un oiseau couleur liberté, c'est beau !
11 ... L'oiseau de la liberté
Il vole, vole jamais ne s'affole,
Tournoie et virevolte au dessus des eaux,
Même sur la plaine ou croasse le corbeau,
Du pôle nord au pôle sud, rigole,
Il chante, chante la délirante,
Aux balcons des demoiselles,
Une mélopée si naturelle,
Celles qui pucelles ne laissera vibrante,
Il se moque, moque de petits coqs,
Aux chasseurs décroche le pied de nez,
De ses plumes aimeriez vous pavaner,
A cache cache joue le soliloque,
Il siffle, siffle en merle moqueur
Aux amis de la liberté son bec est d'ivoire,
Il sera de bois pour ceux qui condamnent l'espoir,
En cage jamais, jamais n'accrocherez ses couleurs,
Rare, rare il est l'oiseau
En nos têtes imaginaire,
Libre, libre comme l'aire,
Rend, rend le monde plus beau
Il est l'oiseau de la liberté
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Bravo ! à tous
Merci pour ces magnifiques lectures
Lys
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