Hors concours (26 mots imposés)
Loin...Si loin...
Fouillant en ma mémoire, j'entends aboyer les chiens du malheur,
J'en ai le cœur broyé, je sais que tu es près de moi, Ô vision irréelle
Me désignant les tristes convoyeurs de ton dernier tour d'honneur.
Étrange spectacle venu dévoyer une âme, menant à une passerelle...
Mes pensées s'emmêlent, ton départ vient enrayer l'élan du bonheur
Nous unissant... Je n'ai plus envie de festoyer cachée sous la tonnelle
A présent je n'entends plus chanter l'oiseau bleu, gyrophare du cœur.
Les larmes, telles hyacinthes d'autrefois sont le sceau de ma citadelle.
Parfois je te crois vivante, incroyable espérance, lueur intemporelle !
J’échafaude un plan, joyeusement je flotte sur un nuage enchanteur
Et je navigue en kayak sur les rivières de la voie lactée...ta chandelle
Vacille au loin, tu me fais signe et loyale me dit d'attendre mon heur.
Les mareyeurs du ciel dansent parmi les étoiles sur leur caravelle
En quête de nettoyeurs sidéraux, polisseurs de la nacre du cœur...
« Oyez ! Oyez ! » l'au-delà existe, et c'est une immense aquarelle !
Paysanne, je sais que le « mystère céleste » est un grand farceur...
La magie de cette quadrisyllabe, message d'espoir annonciateur,
Étire ses rayures au coucher du soleil sur des nuages en dentelle,
Et ressemble au Sabayon fraises et Champagne, quel tentateur !
J'aimerais le nom de ce typographe divin, qui « se fait la belle .»
Il doit être uruguayen pour manier si bien nuances et couleurs...
Poursuivant ce voyage astral, l'esprit s'attarde avec toi l'éternelle.
Sur les nuées, les oiseaux se prennent pour des wallabys sauteurs,
Tracent un nom en lettres d'or, xylophone du cœur joue pour elle !
Yodler aux cieux n'est-il pas merveilleux ? mais je n'ose car j'ai peur
D'éveiller les zygomatiques sur l'hologramme de l'ange sentinelle...
( à ma sœur )
Loin...Si loin...
Fouillant en ma mémoire, j'entends aboyer les chiens du malheur,
J'en ai le cœur broyé, je sais que tu es près de moi, Ô vision irréelle
Me désignant les tristes convoyeurs de ton dernier tour d'honneur.
Étrange spectacle venu dévoyer une âme, menant à une passerelle...
Mes pensées s'emmêlent, ton départ vient enrayer l'élan du bonheur
Nous unissant... Je n'ai plus envie de festoyer cachée sous la tonnelle
A présent je n'entends plus chanter l'oiseau bleu, gyrophare du cœur.
Les larmes, telles hyacinthes d'autrefois sont le sceau de ma citadelle.
Parfois je te crois vivante, incroyable espérance, lueur intemporelle !
J’échafaude un plan, joyeusement je flotte sur un nuage enchanteur
Et je navigue en kayak sur les rivières de la voie lactée...ta chandelle
Vacille au loin, tu me fais signe et loyale me dit d'attendre mon heur.
Les mareyeurs du ciel dansent parmi les étoiles sur leur caravelle
En quête de nettoyeurs sidéraux, polisseurs de la nacre du cœur...
« Oyez ! Oyez ! » l'au-delà existe, et c'est une immense aquarelle !
Paysanne, je sais que le « mystère céleste » est un grand farceur...
La magie de cette quadrisyllabe, message d'espoir annonciateur,
Étire ses rayures au coucher du soleil sur des nuages en dentelle,
Et ressemble au Sabayon fraises et Champagne, quel tentateur !
J'aimerais le nom de ce typographe divin, qui « se fait la belle .»
Il doit être uruguayen pour manier si bien nuances et couleurs...
Poursuivant ce voyage astral, l'esprit s'attarde avec toi l'éternelle.
Sur les nuées, les oiseaux se prennent pour des wallabys sauteurs,
Tracent un nom en lettres d'or, xylophone du cœur joue pour elle !
Yodler aux cieux n'est-il pas merveilleux ? mais je n'ose car j'ai peur
D'éveiller les zygomatiques sur l'hologramme de l'ange sentinelle...
( à ma sœur )
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