Loi Céleste,
L’amour s’évapore,
Comme au fil du temps
Quand d’un seul printemps
Peur luminophore,
De ces seuls instants
La source où côtoie,
Au sort des titans
La larme apitoie,
Opère et nettoie.
Quand d’une loi nait,
De cet art connaît
Qui seul vient en proie,
Elle est tant amère,
Faisant d’une guerre
A ce goût de fiel
La déraison même,
N’ayant que le ciel
Dont on se parsème
D’un oubli véniel
Qui se veut funeste
Sur le noir céleste.