Par-delà les vagues endormies des hauteurs,
L'onde du jour s'éteint avec le soir plus sombre
Et le Soleil aux cieux où sa barque d'or sombre
Éparpille l'airain de ses vastes splendeurs.
L'immensité, menant les calmes salvateurs
Déroule dans la nuit ses étoiles sans nombre
Qui, archipels lointains parmi le flot et l'ombre
Du clair firmament font ondoyer leurs lenteurs.
Comme un phare d'argent sur la céleste rive
La Lune à peine née s'allume pleine et vive
En contemplant nager les îles de l'éther.
Et dans ce grand sommeil où toute chose rêve,
Vivant chaque journée les pieds foulant la grève ,
La Terre alors goûte aux beautés d'une autre mer.
Texte protégé
logan
L'onde du jour s'éteint avec le soir plus sombre
Et le Soleil aux cieux où sa barque d'or sombre
Éparpille l'airain de ses vastes splendeurs.
L'immensité, menant les calmes salvateurs
Déroule dans la nuit ses étoiles sans nombre
Qui, archipels lointains parmi le flot et l'ombre
Du clair firmament font ondoyer leurs lenteurs.
Comme un phare d'argent sur la céleste rive
La Lune à peine née s'allume pleine et vive
En contemplant nager les îles de l'éther.
Et dans ce grand sommeil où toute chose rêve,
Vivant chaque journée les pieds foulant la grève ,
La Terre alors goûte aux beautés d'une autre mer.
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logan
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