Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Libre comme l' Air

Samyelle

Maître Poète
#1
Je tirais très doucement la vitre ,Le Wagon qui roulait au pas ,
sous le soleil d' automne en partance pour l'arrêt Gare du Nord,
pas plus ,pour lire dans les lignes d'une bellàttre assise près de Moi
pas loin ,des rails pour monter au buttes , Mes Buttes encore

Eté soixante dix neuf, je lu dans le train encore et encore
assise sur le siege en bois ,le livre "L'écume des jours " de Boris
quand de mon corail qui pointait sur le bord,
si le veto m'accompagnait dans mon walkman ,Hisse

Sur le quai, de bar , un Amant ne pouvait assassiner.
tirant sur la personne qui m'accompagnait ,
évitant les lames de scies , qui pointaient .
naturalisée Française que je suis , même née .

Une heure trente de route du rail , pour arriver " Là Bas "
comme elle , ma rame de métro ,pour l'auditorium ,
pour faire rêver le ciel d'une t chi , mais pas Moi,
les pieds de la dame de fer , m'y attendait d'un Home

Je fonçais vers la porte , au pied d'une vieille grille d'acier ,
quand l'appel d'un groom me prenait la valise ,
monter d' étages en étages , sur le plan d'un "Lux " qui m'attendait.
il faisait frais, l'odeur de gaz des échappements de nuits grises.,

Les montées d'escalier étaient raides,, puis l'ascenseur pour m'y rendre
l'auditoire , était là , derrière une vitre , les ondes et sillons par devant
j' avais mon texte à la main , avec le la , je pris le sillon tendre.
pour les tics , de la chanson , " Hair " de Leclerc et d'avant.

J'écrivais le dernier ver d'un texte d'époque en époque
le temps m'est assassin , comme l'aube d'un matin
de Mon dixième arrondissement, , sans y tomber en roc
les yeux en face de ce que j'y voyais, en vain


Je lus ce texte , en répétitif, avec mon mec qui me produisait,
la musique tirant sur le tympan ,avec le casque à l'oreille.
l'an 77, qui m'a vu envolé comme l'air , enivrée de vie ,liberté
Ma liberté chérie, -phase de mon single " Partir "

A l'étranger pour m'exiler, , survivre
à Paris pour y mettre les pieds
dans un haut de Nord , pour y vivre
mais seul , Le coeur me met
me dirige ,me dirige,me dirige
vers ma capitale qui s'érige . . et .




,kiss de Sam ;) (soit Samyelle

Postcrptum (
tirant à 1 million d'exemplaire ) - L'inconnue du Jardin du Luxembourg ( écrit par Moi- même , Samyelle en 2009 )... sur site ,
même si mon producteur et Mon M- A - I ne m'a pas fait défaut , , sa baume la vie , de flouze , pour Bibi Samyelle )
 
Dernière édition:

Samyelle

Maître Poète
#2
revenue pourMoi meme, non pas d'Egypte , comme Yolanda
mais Moi, de Samyelle , , par le HDF (sigle de chez Moi), , comme Farid D Hamidou