Liberty la papillonne
Elle est venue au monde,
Un matin de printemps,
Toute seule
La chenille qui lui a donné naissance
A murmuré un nom , avant de disparaitre
Liberty la papillonne
Très vite il lui fallut apprendre la chaleur du soleil
Le souffle du vent, l'odeur de l'herbe et des fleurs
Le gout de rosé, le chant des oiseaux
Et tous les bruits que font les hommes et leurs machines
Elle est restée blottie sur la mousse
Avant d'oser remuer les ailes blanches
Un battement puis deux, puis trois
Elle a survolé la foret
Puis elle a pris confiance, apprenant à tourner
À droite, à gauche, à descendre, à remonter
Elle a étendu ses ailes que la lumière restait transparentes ,
Pour planer sans effort, au-dessus
D'un grand champ parsemé de coquelicots
Soudain un grand coup de vent
Elle fut entrainer son corps vers un petit village
Elle se posa sur une fenêtre,
Pour se mettre à l'abri et reprendre son souffle
Liberty approche la tête de la vitre
Elle vit tout d'abord un énorme papillon vert
Aux contours blancs entourés de mots
Son cœur se mit à battre très fort
Vous êtes belle, là plus séduisante des papillonnes
Un nuage blanc passe lentement
Le papillon la rejoint et tandis ses pattes vers elle
Accepte vous de devenir ma femme
Liberty sauta de joie au pied du lilas
Et ils s'envolent pour un grand oui
L'éternité
Elle est venue au monde,
Un matin de printemps,
Toute seule
La chenille qui lui a donné naissance
A murmuré un nom , avant de disparaitre
Liberty la papillonne
Très vite il lui fallut apprendre la chaleur du soleil
Le souffle du vent, l'odeur de l'herbe et des fleurs
Le gout de rosé, le chant des oiseaux
Et tous les bruits que font les hommes et leurs machines
Elle est restée blottie sur la mousse
Avant d'oser remuer les ailes blanches
Un battement puis deux, puis trois
Elle a survolé la foret
Puis elle a pris confiance, apprenant à tourner
À droite, à gauche, à descendre, à remonter
Elle a étendu ses ailes que la lumière restait transparentes ,
Pour planer sans effort, au-dessus
D'un grand champ parsemé de coquelicots
Soudain un grand coup de vent
Elle fut entrainer son corps vers un petit village
Elle se posa sur une fenêtre,
Pour se mettre à l'abri et reprendre son souffle
Liberty approche la tête de la vitre
Elle vit tout d'abord un énorme papillon vert
Aux contours blancs entourés de mots
Son cœur se mit à battre très fort
Vous êtes belle, là plus séduisante des papillonnes
Un nuage blanc passe lentement
Le papillon la rejoint et tandis ses pattes vers elle
Accepte vous de devenir ma femme
Liberty sauta de joie au pied du lilas
Et ils s'envolent pour un grand oui
L'éternité