Liberté (pastiche du duo de Jean Marc et Lilasys)
Juste pour en appuyer leurs textes
Sur les mâles polis sans raison
Sur leurs armes sans expression,
Sur nos maux faut une motion,
Liberté, je crie ton nom.
Par leurs rapières, leurs fusées,
Par les larmes obligées,
Par nos âges avancés,
Liberté, je crie haut ton nom.
Que me taire, ils espèrent,
Que me tancent ces pervers,
Que souvent, images de naguère,
Liberté, je hausse encore le ton.
Pour lutter, jamais se lasser,
Pour l’effort prédestiné,
Pour ces hommes qui veulent nous effacer
Liberté, rehausse encore d’un ton.
Sur les goûts de l’élève,
Sur cette chaîne qu’ils nous enlèvent,
Sur le sens de ma sœur qui s’élève,
Liberté, nous crie-t-elle : Ton nom.
Pour que mes goûts se nettoient,
Pour que mon œil festoie,
Pour que ma parole envoie,
Liberté, ensemble nous crierons ton nom.
Par l’amer des faux céans infinis,
Par cette toile enfin réunie,
Par cette dame et ses envies,
Liberté, je hurle ton nom.
Avec mes pots de cadeaux,
Avec mes écrits couplés au plus beau,
Avec mes mots je me sens un peu sot,
Liberté, je vous offre son nom.
Par mes prières à deux mains,
Par le baume dès demain,
Par le beau jamais restreint,
Liberté, quand saigne ton nom.
Par les murmures à tout moments,
Par cette ivraie nous envahissant,
Par cette faim de nouveaux fondements,
Liberté, j’aspire à toujours crier ton nom.
Juste pour en appuyer leurs textes
Sur les mâles polis sans raison
Sur leurs armes sans expression,
Sur nos maux faut une motion,
Liberté, je crie ton nom.
Par leurs rapières, leurs fusées,
Par les larmes obligées,
Par nos âges avancés,
Liberté, je crie haut ton nom.
Que me taire, ils espèrent,
Que me tancent ces pervers,
Que souvent, images de naguère,
Liberté, je hausse encore le ton.
Pour lutter, jamais se lasser,
Pour l’effort prédestiné,
Pour ces hommes qui veulent nous effacer
Liberté, rehausse encore d’un ton.
Sur les goûts de l’élève,
Sur cette chaîne qu’ils nous enlèvent,
Sur le sens de ma sœur qui s’élève,
Liberté, nous crie-t-elle : Ton nom.
Pour que mes goûts se nettoient,
Pour que mon œil festoie,
Pour que ma parole envoie,
Liberté, ensemble nous crierons ton nom.
Par l’amer des faux céans infinis,
Par cette toile enfin réunie,
Par cette dame et ses envies,
Liberté, je hurle ton nom.
Avec mes pots de cadeaux,
Avec mes écrits couplés au plus beau,
Avec mes mots je me sens un peu sot,
Liberté, je vous offre son nom.
Par mes prières à deux mains,
Par le baume dès demain,
Par le beau jamais restreint,
Liberté, quand saigne ton nom.
Par les murmures à tout moments,
Par cette ivraie nous envahissant,
Par cette faim de nouveaux fondements,
Liberté, j’aspire à toujours crier ton nom.