Vivre est si merveilleux
Que je me presse chaque matin
D'enfiler l'ardeur, les prouesses
De mon âme fringante
De mettre vivement
la volonté devant l'espoir
Dans un pas assuré
Qui brillamment se pose
Sur l'interface des mystères
Peuplant en myriades l'espace
Dans lequel je gravite, libre
Comme une pâle curiosité
Je ne sais dire, ce qui le plus,
m'intrigue; les possibilités immenses
Ou les grands trous noirs de l'humanité
S'écorchant sur l'évidence d'un ciel
S'agenouillant à son front
Pour déballer les couleurs
De ce qui nous échappent encore
Après bien des millénaires
Vivre est si lumineux
Que cela m'ébloui
M'intrigue, me sidère,
Dans sa vaste prairie
Où tout est à cultiver
Où tout est à goûter
Du corps, de l'âme, de l'esprit
Comme une fleur de printemps
Que je me presse chaque matin
D'enfiler l'ardeur, les prouesses
De mon âme fringante
De mettre vivement
la volonté devant l'espoir
Dans un pas assuré
Qui brillamment se pose
Sur l'interface des mystères
Peuplant en myriades l'espace
Dans lequel je gravite, libre
Comme une pâle curiosité
Je ne sais dire, ce qui le plus,
m'intrigue; les possibilités immenses
Ou les grands trous noirs de l'humanité
S'écorchant sur l'évidence d'un ciel
S'agenouillant à son front
Pour déballer les couleurs
De ce qui nous échappent encore
Après bien des millénaires
Vivre est si lumineux
Que cela m'ébloui
M'intrigue, me sidère,
Dans sa vaste prairie
Où tout est à cultiver
Où tout est à goûter
Du corps, de l'âme, de l'esprit
Comme une fleur de printemps