Lettre d’Amour
lettre écrite sur thème "le printemps des poètes"
lettre écrite sur thème "le printemps des poètes"
Une lettre d’amour ne contient pas uniquement
Le « Je t’aime »
Elle est un tout que chacun sème !
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Le « Je t’aime »
Elle est un tout que chacun sème !
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Te souviens-tu de nos lettre de cristal ?
En ce temps où tout était limpide, tout était clair, tout était si facile,
Telle une flèche l’éclair. De l’aube au firmament j’étais ton piedestal !
Entre les mots valsait l’amour en robe des champs, tout entier
En ce « vous » que l’on s’accordait, jusqu’au jour où le « tu »
Qui nous a unis après tant d’années m’a tuée !
Tes promesses, tes serments fleurissaient la vie. Tu l’effeuillais
En surprises jamais finies. Je dégustais le temps, te remerciais
En gestes qui transpirent ; c’était il y a très longtemps !
Puis, ces beaux actes sont devenus pour toi, jeux de « pommes ».
Sitôt lancées tu les avais croquées, oubliées et moi je continuais
A te remercier sachant toutefois, après bien des années, que je
N’aurais plus de plaisir à les apprécier car tu les avais épluchées !
Après m’avoir tout donné, tu m’as tout repris jusqu’au dernier
Baiser qui clos la journée ! je ne t’avais rien demandé, je
N’ai rien compris ! je ne t’ai rien reproché, j’ai tout subi !
Je ne peux oublier les six années heureuses si largement
Données, si largement reçues.
En surprises jamais finies. Je dégustais le temps, te remerciais
En gestes qui transpirent ; c’était il y a très longtemps !
Puis, ces beaux actes sont devenus pour toi, jeux de « pommes ».
Sitôt lancées tu les avais croquées, oubliées et moi je continuais
A te remercier sachant toutefois, après bien des années, que je
N’aurais plus de plaisir à les apprécier car tu les avais épluchées !
Après m’avoir tout donné, tu m’as tout repris jusqu’au dernier
Baiser qui clos la journée ! je ne t’avais rien demandé, je
N’ai rien compris ! je ne t’ai rien reproché, j’ai tout subi !
Je ne peux oublier les six années heureuses si largement
Données, si largement reçues.
Après avoir été un être aux mille et une qualités
Je ne t’ai pas reconnu. Est-ce la vie qui change l’individu
Ou est-ce l’homme qui change la vie ? je ne sais plus. L’un et l’autre
Etroitement unis et tant d’enjeux semant l’envie quand on n’a rien reçu
Sinon la vie ?
Je ne t’ai pas reconnu. Est-ce la vie qui change l’individu
Ou est-ce l’homme qui change la vie ? je ne sais plus. L’un et l’autre
Etroitement unis et tant d’enjeux semant l’envie quand on n’a rien reçu
Sinon la vie ?
Sur l’amour suprême tu as choisi la trêve !
Reste la même dans ses recoins la maison de nos rêves.
Rien n’a bougé, même pas mon âme qui reste inanimée depuis que tu
A changé de rêves !
Reste la même dans ses recoins la maison de nos rêves.
Rien n’a bougé, même pas mon âme qui reste inanimée depuis que tu
A changé de rêves !
Je ramasse à la pelle les beaux souvenirs,
Tout en cordons les vestiges des cadeaux d’étrennes gardant leurs étiquettes ;
Chacun rappelle les joies, les peines, l’attention offerte et ceux qui m'ont
été négligemment donnés sans ruban ni papier dédicacé.
La façon d’offrir, ce fil d’argent me plaît bien d'avantage
que le contenant. Je le puise dans le regard portant
son empreinte sur les lèvres et dans la main
Tendue sans retenue !
Tout en cordons les vestiges des cadeaux d’étrennes gardant leurs étiquettes ;
Chacun rappelle les joies, les peines, l’attention offerte et ceux qui m'ont
été négligemment donnés sans ruban ni papier dédicacé.
La façon d’offrir, ce fil d’argent me plaît bien d'avantage
que le contenant. Je le puise dans le regard portant
son empreinte sur les lèvres et dans la main
Tendue sans retenue !
Pour moi :
« L’Amour véritable est inexplicable
Quand on sait pourquoi on aime,
On aime déjà moins ».
« L’Amour véritable est inexplicable
Quand on sait pourquoi on aime,
On aime déjà moins ».
On n’aime qu’à moitié l’amour suprême qui reste entier !
Tu étais là quand j’ai écrit cette pensée bien encadrée sur un mur
Du coin cheminée meublant le crépis immaculé !
C’était encore l’amour heureux tout enveloppé de braises !
Tu étais là quand j’ai écrit cette pensée bien encadrée sur un mur
Du coin cheminée meublant le crépis immaculé !
C’était encore l’amour heureux tout enveloppé de braises !
Aujourd’hui je me penche sur une fleur, me promène sous nos arbres.
J’admire leurs racines s’enlaçant et leurs branches jumelées
s’élevant, s’embrassent au moindre vent douillet.
Je ne peux que constater que l’image de ce paysage
Ressemble étrangement à l’amour dans sa
Continuité !
Tu vois, je croyais comme toi que l’amour suffisait pour qu’un OUI
A la vie soit bordé de respect, l’Âme sœur de la fidélité.
Je le crois toujours car mon Âme d’enfant n’a jamais rêvé,
Elle est réalité.
Au fait, pourquoi je t’ai aimé ?
Dieu seul le sait !
J’admire leurs racines s’enlaçant et leurs branches jumelées
s’élevant, s’embrassent au moindre vent douillet.
Je ne peux que constater que l’image de ce paysage
Ressemble étrangement à l’amour dans sa
Continuité !
Tu vois, je croyais comme toi que l’amour suffisait pour qu’un OUI
A la vie soit bordé de respect, l’Âme sœur de la fidélité.
Je le crois toujours car mon Âme d’enfant n’a jamais rêvé,
Elle est réalité.
Au fait, pourquoi je t’ai aimé ?
Dieu seul le sait !
Pourquoi je t’aime ?
Sans doute pour rien.
Ce rien est inaccessible ! il meurt en croix comme le Christ !
Polymnie2, ce 21 février 2019
Sans doute pour rien.
Ce rien est inaccessible ! il meurt en croix comme le Christ !
Polymnie2, ce 21 février 2019
