je t'ecris de loin, depuis le bods du Cameroun
devant l'île Mbamou; c'est une motte de terre
Qui d'est retrouver au milieu des eaux
Pour eviter de trouner avec la terre
La rue n'est pas loin: elle passe conne le fleuve
Là, derrière l'herbe qui semble plus haute
A cause des bruits des cigales
Les voitures roulent mais n'ecrasent aucun souvenir
Je te plains toi, là bas dans le desert de béton et d'acier
Avec les plus beaux rêve des hommes
Dans les havresacs des bandits
Tu dois avoir peur dans les quartier perdus
Quand la lune n'est plus au sommet de la nuit
Que veux-tu? la vie n'est pas ronde comme la terre
Chaque jour elle s'accroche a quelque equipe
J'ai touts les traits de ton visage au bout de ma plume
Et tes paroles aussi, vraiment geniales
>
Davant moi tu etais parfois l'arbre
Qui couve un genie tranquille
L'instant d'apres la pîqure du rythme
Te prenait a la cheville;
Tu devenais alors le serpent de mer
Qui remonte à la sa source par les contorsion des vagues
Tu brûlais dans mes bras, plus torride
Que le soleil de ma saison pluvieuse
J'ai vecu avec toi comme le tronc
Qui tient ta branche par le temps d'orage...
Adieu! plume ne suit plus la ligne :
La nuit déjà bout dans le vase des étoiles
SPINOZA
devant l'île Mbamou; c'est une motte de terre
Qui d'est retrouver au milieu des eaux
Pour eviter de trouner avec la terre
La rue n'est pas loin: elle passe conne le fleuve
Là, derrière l'herbe qui semble plus haute
A cause des bruits des cigales
Les voitures roulent mais n'ecrasent aucun souvenir
Je te plains toi, là bas dans le desert de béton et d'acier
Avec les plus beaux rêve des hommes
Dans les havresacs des bandits
Tu dois avoir peur dans les quartier perdus
Quand la lune n'est plus au sommet de la nuit
Que veux-tu? la vie n'est pas ronde comme la terre
Chaque jour elle s'accroche a quelque equipe
J'ai touts les traits de ton visage au bout de ma plume
Et tes paroles aussi, vraiment geniales
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Davant moi tu etais parfois l'arbre
Qui couve un genie tranquille
L'instant d'apres la pîqure du rythme
Te prenait a la cheville;
Tu devenais alors le serpent de mer
Qui remonte à la sa source par les contorsion des vagues
Tu brûlais dans mes bras, plus torride
Que le soleil de ma saison pluvieuse
J'ai vecu avec toi comme le tronc
Qui tient ta branche par le temps d'orage...
Adieu! plume ne suit plus la ligne :
La nuit déjà bout dans le vase des étoiles
SPINOZA