L' Asile
Petite femme volage
Te surprend pleine dérive
Te savais pas si sauvage
Je te sens très fromage
Attention si j’arrive
Vais te mettre dans la cage
Siffle, nifle, renifle
Pleures, donc, tes larmes
Cris strident, prend une gifle
Inutile ton cou de « girafle »
Qui embrouille ses charmes
Perce l’oreille qui me siffle
Pourquoi cries-tu si aigue
Dans ce trou, ce faitout
Tu sais bien qu’on est nu
A genoux, tu m’as eu
Ces biens d’avaler, tout
Ces cachets, nous ont bus
Folie douce, folie Terre
En cajoles blindées bruits
Nous prends tête première
En asile belles manière
Tous ces cris, ses p’tits bruits
Son vacarme infini. Zen, se taire.