La frénésie du monde tend
Non à la dérive des continents
Mais à la palpable énergie de notre monde.
En cela, l'édifice versifié,
L'esprit des hommes vagabonde
Et mon âme meurt, d'esprit désintéressé.
Je souffre à jamais de bétise
De l'esprit, adulant la vie de mal en pis.
Fatigué, ignorant, brûlant les denrées exquises.
Mon culte personnel s'achève
La peur et cette envie, je ne peux les céder
Qu'à d'autres, pâle figure de notre rêve.
J'ai le gout de mon être,
Je le cède à l'instant, bénéfique
Préférant mon hummanité de l'onirique
Au mal que je me fais, Ô mon âme, mon maitre
Non à la dérive des continents
Mais à la palpable énergie de notre monde.
En cela, l'édifice versifié,
L'esprit des hommes vagabonde
Et mon âme meurt, d'esprit désintéressé.
Je souffre à jamais de bétise
De l'esprit, adulant la vie de mal en pis.
Fatigué, ignorant, brûlant les denrées exquises.
Mon culte personnel s'achève
La peur et cette envie, je ne peux les céder
Qu'à d'autres, pâle figure de notre rêve.
J'ai le gout de mon être,
Je le cède à l'instant, bénéfique
Préférant mon hummanité de l'onirique
Au mal que je me fais, Ô mon âme, mon maitre