Je rêve à ses lèvres
Qu'elles m'enlèvent et m'enfièvrent
Et me prennent et m'enchaînent
Que ses gestes insistent
Mais qu'il me résiste
Que ses mains tenduent
Me mettent à nue
Dévoiles la femme et l'enflamme.
Assomme moi de baisers
Torture moi de caresses
Et que jamais ne cesse
Ton désir de me dévoiler
Je me languis de tes doigts
Qui me cherchent et chaque fois
Me trouvent plus encore
Que l'autre,ouverte à ton corps
L'amour est un jeu
Où il faut être deux
A prendre du plaisir
A donner le goût du désir
Effeuille moi,petit bout par petit bout
D'un geste lent et extrêmement doux
Effeuille moi lentement mon amour
Avant que la nuit ne me prenne à son tour
Hypnotisée par ta voix
Ma raison comme endormie
Mon corps se rend, suit ta loi
Et je me donne, alanguie.
La brise incestueuse de ton souffle
Caresse mon cou, ma nuque et m’essouffle
M’appelle aux plaisirs non dits ; Puis, j’ouvre ma bouche
A tes lèvres, promesses non dites, voluptueuses;
Mes intentions fut-elles sages, ne sont pas pieuses;
Je découvre comme une jeune fille, le corps me faisant mal, me tiraillant de toute part,
Les désirs inassouvis, les étreintes animales, que mon corps, que mes seins, ardemment s’accaparent.
Qu'elles m'enlèvent et m'enfièvrent
Et me prennent et m'enchaînent
Que ses gestes insistent
Mais qu'il me résiste
Que ses mains tenduent
Me mettent à nue
Dévoiles la femme et l'enflamme.
Assomme moi de baisers
Torture moi de caresses
Et que jamais ne cesse
Ton désir de me dévoiler
Je me languis de tes doigts
Qui me cherchent et chaque fois
Me trouvent plus encore
Que l'autre,ouverte à ton corps
L'amour est un jeu
Où il faut être deux
A prendre du plaisir
A donner le goût du désir
Effeuille moi,petit bout par petit bout
D'un geste lent et extrêmement doux
Effeuille moi lentement mon amour
Avant que la nuit ne me prenne à son tour
Hypnotisée par ta voix
Ma raison comme endormie
Mon corps se rend, suit ta loi
Et je me donne, alanguie.
La brise incestueuse de ton souffle
Caresse mon cou, ma nuque et m’essouffle
M’appelle aux plaisirs non dits ; Puis, j’ouvre ma bouche
A tes lèvres, promesses non dites, voluptueuses;
Mes intentions fut-elles sages, ne sont pas pieuses;
Je découvre comme une jeune fille, le corps me faisant mal, me tiraillant de toute part,
Les désirs inassouvis, les étreintes animales, que mon corps, que mes seins, ardemment s’accaparent.