Quand les enfants grognons
Pleurnichent sans raison,
La mère a beau chanter,
Le pére a beau crier,
Rien ne peut les distraire.
La soeur fait le poisson,
Le frére le cochon,
Ou les pieds au plafond,
On appelle grand-mère,
On fait venir grand-pére,
Il n'y a rien à faire.
Fripons,baugons,grognons,
Les enfants qui s'ennuient,
Pleurnichent jour et nuit,
Rien ne peut les distraire.
Alors,viennent les anges,
En cohortes étranges.
Ils jouent de la violange
En chantant des cantanges
D'une voix de mésange
Transparents aux paranges,
Ils offrent aux enfanges
Une tarte à l'orange
Ou l'azur se mélange
En chatoyantes franges
Venues du paradange.
Au-dessus des berçanges,
Ils volent en phalanges
Pour chasser les chagranges
Des enfants qui grognangent.
Ils font le saut de l'ange,
Des tonneaux,des loopianges,
Des piqués,des mélanges
Et des acrobatianges.
Alors la scéne change
Et bientot,sans saucianges,
Frétillant dans leurs langes,
Les enfants rient aux anges......
Pleurnichent sans raison,
La mère a beau chanter,
Le pére a beau crier,
Rien ne peut les distraire.
La soeur fait le poisson,
Le frére le cochon,
Ou les pieds au plafond,
On appelle grand-mère,
On fait venir grand-pére,
Il n'y a rien à faire.
Fripons,baugons,grognons,
Les enfants qui s'ennuient,
Pleurnichent jour et nuit,
Rien ne peut les distraire.
Alors,viennent les anges,
En cohortes étranges.
Ils jouent de la violange
En chantant des cantanges
D'une voix de mésange
Transparents aux paranges,
Ils offrent aux enfanges
Une tarte à l'orange
Ou l'azur se mélange
En chatoyantes franges
Venues du paradange.
Au-dessus des berçanges,
Ils volent en phalanges
Pour chasser les chagranges
Des enfants qui grognangent.
Ils font le saut de l'ange,
Des tonneaux,des loopianges,
Des piqués,des mélanges
Et des acrobatianges.
Alors la scéne change
Et bientot,sans saucianges,
Frétillant dans leurs langes,
Les enfants rient aux anges......