Les pensées célèbres, celles de la Vagabonde de la Poésie, les pensées Momoriciennes et les vôtres si le coeur vous en dit

[Maurice Marcouly]

Je ne suis pas du genre à peser mes mots, je m’en balance.

 

[Maurice Marcouly]

Et Dieu créa le père temps pour qu’il tempère nos ardeurs.

 

[Maurice Marcouly]

Les plus belles pensées sont perdues dans la nature.

 

[Maurice Marcouly]

Aujourd’hui il est possible de chercher midi à quatorze heures.

 

[Maurice Marcouly]

L’erreur est inhumaine.

 

[Maurice Marcouly]

Il faut savoir taire son malheur pour ne pas attiser les compassions malsaines.

 

[Maurice Marcouly]

Le père temps, tempère nos ardeurs.

 

[Maurice Marcouly]

Dieu ne croit pas qu’il est à l’origine de l’existence humaine, Il a tellement fait mieux!

 

[Maurice Marcouly]

Les mathématiques font parties des sciences exactes sauf en politique.

 

[Maurice Marcouly]

La capacité qu’a l’homme à créer des problèmes est en opposition avec celle qu’il déploie à les résoudre.

 

[Maurice Marcouly]

Perdre la tête n’est pas chose aisée lorsqu’on en a jamais eu.

 

[Maurice Marcouly]

Aujourd’hui il est possible de chercher midi à quatorze heures.

L’heure d’été est là pour nous le rappeler ! Encore une fois on néglige la marche des astres !

 

[Maurice Marcouly]

Aller à l’encontre de la marche des astres mène au désastre, n’oublions jamais que nous sommes des poussières d’étoiles.

 

[Maurice Marcouly]

L’existence est une suite de vicissitudes plus ou moins rocambolesques.

 

[Maurice Marcouly]

Finis les jours d’été la nature s’endort,
Rien ne semble bouger et tout me parait mort!

 

[Maurice Marcouly]

Souvent dans mon triste tu effaces les pleurs,
Et envoies par milliers les rayons du bonheur !

 

[Maurice Marcouly]

Image de l’amour serais-tu ma fleur bleue ?
Ton reflet dans mes yeux illumine les cieux.

 

[Maurice Marcouly]

Les lointaines lueurs parsemaient l’horizon
D’oriflammes couleur de sang, au diapason
D’un cœur pur, aux pulsions frisant la déraison.

 

[Maurice Marcouly]

Elle divague...
Ses yeux ont formé la vague au rayon vert couchant, soumis aux vents du large son regard s’est lentement éteint, puis a fini par sombrer où l’horizon chargé en lourdes larmes aux saveurs amères se fige.

 

[Maurice Marcouly]

L’esprit humaine a soif d’impartialité, il est hélas la cible des sciences physiques au sens moral très déluré.