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Les pensées célèbres, celles de la Vagabonde de la Poésie, les pensées Momoriciennes et les vôtres si le coeur vous en dit

Je l’aime bien !
J’ai su cueillir la fleur à l’aube de sa fragile vie, respirer son parfum envoûtant, glisser mon âme sous ses pétales aux plis doux et soyeux, rythmer ma vie au diapason de son tendre cœur, goûter à ses nectars subtils, tu sais, je sais, dieu sait, avant qu’elle ne s’éteigne doucement sous l’anse azurée du temps, l’espace d’un printemps, nous nous sommes aimés.
 
Le principe de l’impersonnabilité impassible peut-être obtenu dans toute sa rigueur, même si cela doit nuire à la véracité de l’œuvre.
Faire miroiter son intelligence finit par rendre aveugle.
 
Rendons-nous à l'évidence, si l’évidence ne vient pas à nous ! Force est de constater quel que soit le site internet que l'on fréquente, que des groupes se forment et finissent inévitablement par établir un bloc, une sorte de petite communauté limitée aux acquis ! Cette dite communauté a la fâcheuse habitude de se brosser le poil, elle ne pratique pas évidemment pas le rebrousse !
Vive la brosse à reluire qui entretient l’illusion et qui permet la brillance des pompes!
Cela va à l'encontre de ma façon de vivre sereinement en groupe. Mais rassurez-vous je suis un extraterrestre !
J'ai pour habitude d'encourager les bonnes volontés, de les lire et de les commenter même si parfois leur niveau littéraire me laisse une vraie sensation de vide ! Cette dites sensation, peut me donner par moment le vertige, toutefois je sais très bien qu'il n'aurait pas fallu grand chose pour que je sois bien pire qu'eux ! La vie on le sait tous très bien dépend d’une loterie… Elle obéit à des paramètres qui nous encensent rapidement, ou au contraire, nous entraînent dans un remous incessant qui noie dès le départ toutes nos espérances.
Alors, seule une infime chance peut nous donner le coup de pousse nécessaire pour entrevoir la surface d'une eau qui nous apparaissait depuis toujours sans transparence.
On ne choisit pas, on se satisfait de cet état de fait, on arrête de se lamenter et on reconnait que l'on est sûrement encore parmi les plus chanceux malgré tout…
Revenons à nos moutons !
Chez certains poètes, je déplore souvent un manque de sincérité, je constate parmi les plus détestables la capacité qu'ils ont à se prendre pour des demi-dieux vivants ils affichent leur autosuffisance et méprisent leur entourage.
D’autres, paraissent presque étonnés que l'on ne commente pas leurs poésies qu'ils placent très hauts dans la hiérarchie de l'écriture de haute voltige, tant ils sont persuadés d'avoir atteint les sommets de l'idée. Ils sont pris dans un tourbillon, une sorte de frénésie, qui j'en suis convaincu peut leur donner des sensations de vertige.
Voilà comment je perçois la vie.
Si l'on n'est pas sincère, si l'on ne croit pas à une mission supérieure, si l'on n'y découvre pas de nobles principes, si l'on manque de ressort, on se réfugie dans la mesquinerie, dans l'esprit de dénigrement et dans la critique acerbe qui recouvre le pus souvent le renoncement et la plus lâche attitude que beaucoup adoptent hélas ! Ils ignorent la deuxième attitude qui est synonyme de simplicité, d'humilité et surtout d'intelligence, au service des autres.
Sur un site, il y a trois sortes de personnages, ceux qui décident ce que l'on doit faire, dire ou ne pas dire, je vais les nommer les GRANDS... Les indifférents qui ne se mouillent pas pour un poète traqué et enfin les moutons qui subissent ! Tiens, cela me rappelle une certaine manipulation pandémique !
Je représente ici celles et ceux qui écrivent parfois leur mécontentement peut-être avec maladresse mais vous m'excuserez, j’ai un niveau intellectuel bien modeste, je n'ai pour ainsi dire jamais connu l'école, dans ma douzième année j'étais encore illettré.
Aussi, connaissant votre grande indulgence, j’en suis convaincu, vous me pardonnerez ce très mauvais écrit !
Merci à toutes et à tous !
 
Premier recueil des pensées Momoricienne.

Le poète exprime le caractère évanescent de sa pensée.

Le fruit le plus exquis des humanités n’est-Il pas une délicate bonté, un peu aveugle sur les travers inévitables, orientée vers le pardon et la tendresse.

Les poètes peuvent corriger l’âpreté idéaliste.

Le manque d’humour est une entrave à l’amour, le manque d’amour tue l’humour.

Tout ce qui dépasse dans la vie du cœur, dans l’action ou la pensée, le niveau ordinaire et moyen, relève directement de la poésie.

J’ai peint en larmes de sang un royaume où flottait un rêve, prisonnier d’une cruelle réalité.

L’âme tranchante saigne les cœurs.

Au diapason des âmes s’accordent harmonieusement les chœurs.

Je ne regrette pas le temps de l’antique jeunesse, aujourd’hui je sombre dans les faibles lueurs de ma vieillesse.

Les âmes aux revers tranchants lézardent les chœurs au rythme des sons organiques orchestrés, elles fustigent les lieux de culte malsains et souffle dans les travées bancales un courant d’air glacial purificateur.

Le temps tue un à un tous nos beaux jours.

Mon imagination dévore la vie, mon cœur maudit tous les délais.

Penser aux ombres offre à notre esprit un abri sous ailes.

On me dit souvent tu n’es pas la moitié d’un con, pourtant je fais de gros efforts!

Quand le poéte devient musicien la symphonie des mots encensent des pensées mélodieuses présentes au paradis.

J’ai vécu une jeunesse pathétique à l’ombre de la folie.

Le chemin de mon enfance aux mille tourments a dérouté mon âme, ceux qui l’ont croisé aux contours des tournants ont feint de ne pas la voir, d’autres enseignants l’ont saignée.

Ô ! Ans saignants de ma jeunesse flingueurs d’âme, je vous maudis.

Odieuse jeunesse,
Ô! mon cœur meurtri
si dieu me confesse
loin du corps flétri,
je crierai la détresse
d’une âme sans vie!
 
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