(Eux, ce sont deux cœurs déchirés, deux cœurs qui se cherchent, se trouvent et se perdent dans les tourments de la vie. Ce soir, à la tombée de la nuit, comme par enchantement, loin l’un de l’autre pourtant, dans le calme, à la lueur d’une bougie va s’instaurer un dialogue entre ses deux cœurs qui vont s’entendre aux battements de leur sang qui coule à l’unisson)
Il : Tu ne veut plus donner signe de vie
Et moi de toi doucement je me languis
Tu as choisi le bruit lourd du silence
Mais je ne me fais pas à ton absence
(Elle, un long soupir se dégage de sa poitrine comme un cri sourd, Elle a entendu ce frémissement au fond d’elle qui lui parlait. Elle est comme abasourdie par ce qu’elle vient d’entendre. Hésitante, elle ose quand même lui répondre. Elle n’a plus qu’une hâte c’est d’écouter ses mots à nouveau. Elle a trop peur d’avoir seulement rêvé.)
Elle : Dans la pénombre douloureuse de ma chambre
Avec fracas, mon corps et mon âme se cambrent
Face au cruel choix de te retrouver enfin
Ou de m’évanouir encore un peu plus loin.
Il : Oh ! Oui bien sur que tu peux t’envoler
Mais qu’as tu fais de moi ? Je suis dépouillé
Et mon cœur s’est mis à nu à force de t’aimer
La solitude me pèse et je me sens comme délaissé.
Elle : j’ai les ailes brisées d’avoir trop voyagé
Vers ton cœur que je n’ai jamais pu approcher
Aujourd’hui tu veux que je déploie mes derniers espoirs
Pour dessiner mon image dans l’intensité de ton regard.
(Lui, ses yeux se remplissent de larmes et inondent son visage, il sent que cet amour n’est pas mort. Il veut encore y croire et dans le délire de ses songes il continue de lui parler comme si elle était la, près de lui à pouvoir se toucher, et tout bas il chuchote)
Il : Comme Je voudrais pouvoir dire au monde entier
Que de toute mon âme je t’ai vraiment désirée
Des larmes d’impuissance coulent sur mes joues
Je t’aime et j’ai la fièvre de toi, seulement tu t’en fous
Elle : Non, tu t’égares, je n’aime que toi, reprenons notre duo
Sous tes doigts en effleurant les touches de ton piano
Mon amour fait moi renaître pour la dernière fois…
Entends-tu le bruit de mes pas ?je reviens à toi.
Il : Mon amour Je n’ose le croire je t’ai attendu si longtemps……………….
(Elle et lui, après bien des interrogations et des doutes, ils découvrent qu’ils s’aiment et se désirent encore. Les songes de la nuit viennent doucement leur faire comprendre, qu’ils ne pourront plus se passer l’un de l’autre… ils vont se rendormir avec ce doux rêve !! Il est le même pour tout deux ! C’est l’étrange certitude, de se retrouver pour s’aimer)
Isabelle et Mau
Un grand merci à Isabelle d’avoir eu la gentillesse de m’apporter le concours de sa plume pour ce duo, ou notre collaboration fut des plus charmantes bisous Isabelle j’apprécie ta plume !!!
Un grand merci à toi, Maurice pour le plaisir d’avoir partagé avec toi, cette agréable complicité. Avec toute ma tendresse.
Il : Tu ne veut plus donner signe de vie
Et moi de toi doucement je me languis
Tu as choisi le bruit lourd du silence
Mais je ne me fais pas à ton absence
(Elle, un long soupir se dégage de sa poitrine comme un cri sourd, Elle a entendu ce frémissement au fond d’elle qui lui parlait. Elle est comme abasourdie par ce qu’elle vient d’entendre. Hésitante, elle ose quand même lui répondre. Elle n’a plus qu’une hâte c’est d’écouter ses mots à nouveau. Elle a trop peur d’avoir seulement rêvé.)
Elle : Dans la pénombre douloureuse de ma chambre
Avec fracas, mon corps et mon âme se cambrent
Face au cruel choix de te retrouver enfin
Ou de m’évanouir encore un peu plus loin.
Il : Oh ! Oui bien sur que tu peux t’envoler
Mais qu’as tu fais de moi ? Je suis dépouillé
Et mon cœur s’est mis à nu à force de t’aimer
La solitude me pèse et je me sens comme délaissé.
Elle : j’ai les ailes brisées d’avoir trop voyagé
Vers ton cœur que je n’ai jamais pu approcher
Aujourd’hui tu veux que je déploie mes derniers espoirs
Pour dessiner mon image dans l’intensité de ton regard.
(Lui, ses yeux se remplissent de larmes et inondent son visage, il sent que cet amour n’est pas mort. Il veut encore y croire et dans le délire de ses songes il continue de lui parler comme si elle était la, près de lui à pouvoir se toucher, et tout bas il chuchote)
Il : Comme Je voudrais pouvoir dire au monde entier
Que de toute mon âme je t’ai vraiment désirée
Des larmes d’impuissance coulent sur mes joues
Je t’aime et j’ai la fièvre de toi, seulement tu t’en fous
Elle : Non, tu t’égares, je n’aime que toi, reprenons notre duo
Sous tes doigts en effleurant les touches de ton piano
Mon amour fait moi renaître pour la dernière fois…
Entends-tu le bruit de mes pas ?je reviens à toi.
Il : Mon amour Je n’ose le croire je t’ai attendu si longtemps……………….
(Elle et lui, après bien des interrogations et des doutes, ils découvrent qu’ils s’aiment et se désirent encore. Les songes de la nuit viennent doucement leur faire comprendre, qu’ils ne pourront plus se passer l’un de l’autre… ils vont se rendormir avec ce doux rêve !! Il est le même pour tout deux ! C’est l’étrange certitude, de se retrouver pour s’aimer)
Isabelle et Mau
Un grand merci à Isabelle d’avoir eu la gentillesse de m’apporter le concours de sa plume pour ce duo, ou notre collaboration fut des plus charmantes bisous Isabelle j’apprécie ta plume !!!
Un grand merci à toi, Maurice pour le plaisir d’avoir partagé avec toi, cette agréable complicité. Avec toute ma tendresse.