Les légendes noires.
Il y avait la gaieté, le tourment,
Comme pour nous dire, c'était vivant,
Aujourd'hui le ciel, noir, sans soleil,
Nous fûmes heureux dans la bohème.
Puis s'écrasa la pierre, sur le sol même,
Brisant les espoirs de notre veille,
Nous ôta le sourire, et ouvrit l'abime,
Hurlante fournaise de nos crimes.
Et expliquer pourquoi, s'est perdu notre esprit,
Dans les mondes illusoires qui conduisent à l'oubli,
Pour ne pas voir céder l'arche qui nous conduit,
Vers un monde naissant pleurant comme nos petits.
C'est un peu de nous, qui s'enfuit...
Les légendes immortelles, notre passé,
Qui construisirent l'Autel pour sacrifier,
En hurlements mortels, les elfes et les fées,
Partit pour meilleur, disparurent à tout jamais.
Notre astre immortel, voulut pleurer,
Des larmes de laves, vinrent à couler,
Et le froid disparut comme pour nous montrer,
Que la vie nous aime, malgré le mal que l'on fait.
Et se plaindre à présent, n'est pas preuve de génie,
Quand les autres abandonnent, d'êtres seuls, incompris,
Sur un bateau sans voile, qui n'a que l'infini,
Pour seul destination, peut être la fin de la vie.
C'est un peu de tout ça, qui nous construit...
Il y avait l'aube, et l'âme d'enfants,
Comme l'aurore brillante et le couchant,
Aujourd'hui le temps, noir est sans pareil,
Nous partîmes avant qu'il nous aime.
Disparurent les ombres, qui devinrent blêmes,
Tels les fantômes qui hantent le sommeil,
Se vit le moment des souvenirs d'antan,
Je m'en souvient vraiment, ce ciel éblouissant.
Pour l'amour de la haine, pour la haine de l'amour,
Et les ressentiments, qui brûlent pour toujours,
Dans la répétition de nos erreurs et pour,
Avoir le droit d'écrire, des légendes au secours,
De ceux qui meurent aujourd'hui...
Il y avait la gaieté, le tourment,
Comme pour nous dire, c'était vivant,
Aujourd'hui le ciel, noir, sans soleil,
Nous fûmes heureux dans la bohème.
Puis s'écrasa la pierre, sur le sol même,
Brisant les espoirs de notre veille,
Nous ôta le sourire, et ouvrit l'abime,
Hurlante fournaise de nos crimes.
Et expliquer pourquoi, s'est perdu notre esprit,
Dans les mondes illusoires qui conduisent à l'oubli,
Pour ne pas voir céder l'arche qui nous conduit,
Vers un monde naissant pleurant comme nos petits.
C'est un peu de nous, qui s'enfuit...
Les légendes immortelles, notre passé,
Qui construisirent l'Autel pour sacrifier,
En hurlements mortels, les elfes et les fées,
Partit pour meilleur, disparurent à tout jamais.
Notre astre immortel, voulut pleurer,
Des larmes de laves, vinrent à couler,
Et le froid disparut comme pour nous montrer,
Que la vie nous aime, malgré le mal que l'on fait.
Et se plaindre à présent, n'est pas preuve de génie,
Quand les autres abandonnent, d'êtres seuls, incompris,
Sur un bateau sans voile, qui n'a que l'infini,
Pour seul destination, peut être la fin de la vie.
C'est un peu de tout ça, qui nous construit...
Il y avait l'aube, et l'âme d'enfants,
Comme l'aurore brillante et le couchant,
Aujourd'hui le temps, noir est sans pareil,
Nous partîmes avant qu'il nous aime.
Disparurent les ombres, qui devinrent blêmes,
Tels les fantômes qui hantent le sommeil,
Se vit le moment des souvenirs d'antan,
Je m'en souvient vraiment, ce ciel éblouissant.
Pour l'amour de la haine, pour la haine de l'amour,
Et les ressentiments, qui brûlent pour toujours,
Dans la répétition de nos erreurs et pour,
Avoir le droit d'écrire, des légendes au secours,
De ceux qui meurent aujourd'hui...
