Rien…
Le ciel regarde au loin son possible horizon
Peint
Des verves bivouaquées au pourtour des saisons ;
Tiens STEWEN
Je t’offre l’arc-en-ciel et sa divine errance
Lien
De l’amour éreinté de ses propres souffrances
Grain
Qu’on sème ici et là au détour d’un regard
Craint
Comme l’on se surprend ou comme l’on s’égare !
Train
Qui mène vers la vie, l’étrange ou l’indécis
Teint
De douleurs et de cris comme à ce pas précis
Vain
quel que soit le soleil aux orages larvés
Plein
Des pleurs où, par saison, l’oubli va s’abreuver
D’un
Présage à l’ornière et même à l’entendu
Qu’un
Secret négocié, au gibet, s’est pendu
Feint
A l’outrage du temps qui bégaie ses blasphèmes…
Clin
D’œil au bord du vent qui porte les « je t’aime ».
Le ciel regarde au loin son possible horizon
Peint
Des verves bivouaquées au pourtour des saisons ;
Tiens STEWEN
Je t’offre l’arc-en-ciel et sa divine errance
Lien
De l’amour éreinté de ses propres souffrances
Grain
Qu’on sème ici et là au détour d’un regard
Craint
Comme l’on se surprend ou comme l’on s’égare !
Train
Qui mène vers la vie, l’étrange ou l’indécis
Teint
De douleurs et de cris comme à ce pas précis
Vain
quel que soit le soleil aux orages larvés
Plein
Des pleurs où, par saison, l’oubli va s’abreuver
D’un
Présage à l’ornière et même à l’entendu
Qu’un
Secret négocié, au gibet, s’est pendu
Feint
A l’outrage du temps qui bégaie ses blasphèmes…
Clin
D’œil au bord du vent qui porte les « je t’aime ».