Les heures m’enlacent sans fin.
Les heures m’enlacent sans fin,
Le malheur déplace l’entrain,
Les jours où je me sens le con,
Toujours, où je ressens le bon.
Il est des heures matinales
Ou je voudrais être amiral,
Chef sur mon petit bateau,
Sur mon chef, le chapeau.
Les heures m’enlacent sans fin,
Le malheur déplace l’entrain,
Les jours où je me sens le con,
Toujours, où je ressens le bon.
Sur une mer encore démontée,
Je cherche quelqu’un à fêter,
Recherchant en vain l’horizon,
Entre ses vagues et ses moutons.
Les heures m’enlacent sans fin,
Le malheur déplace l’entrain,
Les jours où je me sens le con,
Toujours, où je ressens le bon.
Dans notre monde de tristesse,
J’aimerai le changer en caresse,
Pour gommer les soucis,
D’un avenir plus précis.
Les heures m’enlacent sans fin,
Le malheur déplace l’entrain,
Les jours où je me sens le con,
Toujours, où je ressens le bon.
Je rêve d’un univers de féérie,
Pour que les enfants sourient,
Leur offrir un futur joyeux,
Et enlever les gens odieux.
Les heures m’enlacent sans fin,
Le malheur déplace l’entrain,
Les jours où je me sens le con,
Toujours, où je ressens le bon.
Et s’il me faut aujourd’hui tirer ma révérence,
J’aimerai savoir que tous on eut de la chance,
Me dire qu’hier, j’avais eu du pif
Et qu’mon petit passage a été positif.
Les heures m’enlacent d’entrain,
Le malheur se déplace enfin,
Jamais, je ne me sens le con,
Ce jour, je pressens enfin le bon.
Les heures m’enlacent sans fin,
Le malheur déplace l’entrain,
Les jours où je me sens le con,
Toujours, où je ressens le bon.
Il est des heures matinales
Ou je voudrais être amiral,
Chef sur mon petit bateau,
Sur mon chef, le chapeau.
Les heures m’enlacent sans fin,
Le malheur déplace l’entrain,
Les jours où je me sens le con,
Toujours, où je ressens le bon.
Sur une mer encore démontée,
Je cherche quelqu’un à fêter,
Recherchant en vain l’horizon,
Entre ses vagues et ses moutons.
Les heures m’enlacent sans fin,
Le malheur déplace l’entrain,
Les jours où je me sens le con,
Toujours, où je ressens le bon.
Dans notre monde de tristesse,
J’aimerai le changer en caresse,
Pour gommer les soucis,
D’un avenir plus précis.
Les heures m’enlacent sans fin,
Le malheur déplace l’entrain,
Les jours où je me sens le con,
Toujours, où je ressens le bon.
Je rêve d’un univers de féérie,
Pour que les enfants sourient,
Leur offrir un futur joyeux,
Et enlever les gens odieux.
Les heures m’enlacent sans fin,
Le malheur déplace l’entrain,
Les jours où je me sens le con,
Toujours, où je ressens le bon.
Et s’il me faut aujourd’hui tirer ma révérence,
J’aimerai savoir que tous on eut de la chance,
Me dire qu’hier, j’avais eu du pif
Et qu’mon petit passage a été positif.
Les heures m’enlacent d’entrain,
Le malheur se déplace enfin,
Jamais, je ne me sens le con,
Ce jour, je pressens enfin le bon.