Sans cesse, je pense à toi.
Au cœur de ma vie, au plus profond de mon âme,
Ton image, ton sourire, tes paroles trônent, indélébiles, comme gravés en moi…
Mais je ne puis déclarer ma flamme !
Pourtant, jamais mon amour ne s’estompe
Les sentiments m’envahissent
Torrents impétueux, tempête de mon esprit,
Les feux qui m’éclairaient, à présent me consument !
Dans la nuit, il m’arrive parfois d’allumer ma lampe,
Croyant déceler, au clair de lune, ton ombre qui glisse,
Là, tout près de moi, au bord de mon lit,
Avant de raviver mon long, douloureux désespoir, qui me replonge dans la brume, dans les plus noirs abysses…
Ô ! Que l’amour peut être cruel !
Lorsque dans ma bouche, le doux nectar se change en fiel !
Tel mon soleil, tu m’apparais aussi belle qu’inaccessible,
Car je t’aime éperdument, et je sais que plus jamais je ne connaîtrai un amour si irrésistible.
Au cœur de ma vie, au plus profond de mon âme,
Ton image, ton sourire, tes paroles trônent, indélébiles, comme gravés en moi…
Mais je ne puis déclarer ma flamme !
Pourtant, jamais mon amour ne s’estompe
Les sentiments m’envahissent
Torrents impétueux, tempête de mon esprit,
Les feux qui m’éclairaient, à présent me consument !
Dans la nuit, il m’arrive parfois d’allumer ma lampe,
Croyant déceler, au clair de lune, ton ombre qui glisse,
Là, tout près de moi, au bord de mon lit,
Avant de raviver mon long, douloureux désespoir, qui me replonge dans la brume, dans les plus noirs abysses…
Ô ! Que l’amour peut être cruel !
Lorsque dans ma bouche, le doux nectar se change en fiel !
Tel mon soleil, tu m’apparais aussi belle qu’inaccessible,
Car je t’aime éperdument, et je sais que plus jamais je ne connaîtrai un amour si irrésistible.
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