Les couloirs sans issue!
Bienvenue en ce lieu que je nomme la cité de la joie
Là où se rencontrent les pêcheurs sans plus aucune ligne de conduite
Ce lieu oublié de tous les dieux mais qui porte une croix
Celle de mourir sans dignité et sans se payer une dernière cuite
Les chambres sont pas dans un palace mais elles sont confortables
Tout ce qu'il faut pour nous gens oubliés peu fréquentable
Je me dis parfois , avons nous un virus contagieux pour si peu de visite
C'est idiot quelle question on est tous mort même si on résiste
Le vieux robert est arrivé avec en tout et pour tout dans ses bagages
Des injures des colères ,la bétise humaine quand elle fait rage
Il se gargarise en crachant sur les autres comme un malade
Alors je le taquine manière que nos journées soient moins fades
Il me boude et m'observe de loin derrière ses petites lunettes
Ses yeux aussi bleus que les miens m'observent rivalisent
Que voulez vous il a pas l'habitude et vit à sa guise
Un vilain qui rejette tous et tout et reste dans sa cachette
Ce matin je me suis cloitré avec mes larmes qui trahissent ma peine
Je ne peux partager ce que mon coeur ressent sa seule chaîne
J'ai fermé la porte et derrière le mur du silence
Je garde mes cris tout le mépris face à leurs doléances
Surprise don juan robert est venu me prendre la main
Tiens mon grincheux a donc un coeur et pour moi du chagrin
On a tous les yeux un peu étranges quand on sait qu'au fond
La peur de mourir pour certains les rend parfois bien cons
Une odeur de morphine plane dans l'air ou le silence tue
Dans ces longs couloirs blancs sans issue la mort rôde
La nuit, elle traîne les cercueils des prochains inconnus
Ceux qui vendent leurs âmes à Dieu ou au Diable ceci est un code .
LILASYS
Bienvenue en ce lieu que je nomme la cité de la joie
Là où se rencontrent les pêcheurs sans plus aucune ligne de conduite
Ce lieu oublié de tous les dieux mais qui porte une croix
Celle de mourir sans dignité et sans se payer une dernière cuite
Les chambres sont pas dans un palace mais elles sont confortables
Tout ce qu'il faut pour nous gens oubliés peu fréquentable
Je me dis parfois , avons nous un virus contagieux pour si peu de visite
C'est idiot quelle question on est tous mort même si on résiste
Le vieux robert est arrivé avec en tout et pour tout dans ses bagages
Des injures des colères ,la bétise humaine quand elle fait rage
Il se gargarise en crachant sur les autres comme un malade
Alors je le taquine manière que nos journées soient moins fades
Il me boude et m'observe de loin derrière ses petites lunettes
Ses yeux aussi bleus que les miens m'observent rivalisent
Que voulez vous il a pas l'habitude et vit à sa guise
Un vilain qui rejette tous et tout et reste dans sa cachette
Ce matin je me suis cloitré avec mes larmes qui trahissent ma peine
Je ne peux partager ce que mon coeur ressent sa seule chaîne
J'ai fermé la porte et derrière le mur du silence
Je garde mes cris tout le mépris face à leurs doléances
Surprise don juan robert est venu me prendre la main
Tiens mon grincheux a donc un coeur et pour moi du chagrin
On a tous les yeux un peu étranges quand on sait qu'au fond
La peur de mourir pour certains les rend parfois bien cons
Une odeur de morphine plane dans l'air ou le silence tue
Dans ces longs couloirs blancs sans issue la mort rôde
La nuit, elle traîne les cercueils des prochains inconnus
Ceux qui vendent leurs âmes à Dieu ou au Diable ceci est un code .
LILASYS
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