Les Cortèges des Fantômes
Le soir approche et les voiles de la nuit viennent s’étendre,
L’éclairage entre la lune et les étoiles est assez pâle,
Dans le ciel assombrit, volent les hiboux et les chouettes.
Leurs cris viennent effrayer les passants dans les ruelles.
Un cortège de gens déguisés inonde les recoins de la ville,
Les branches d’arbres presque nus sous le vent craquent.
Tels des fantômes invisibles qui cherchent à se faire entendre,
Ne laissant sur leurs chemins seulement, une étole, un châle,
Dans les horizons lointains, un air vient et entre dans ma tête,
Une sorcière auprès du diable s’amuse à faire la belle,
Derrière son masque, le diable sent battre son cœur fragile,
S’entrainant dans une course folle, tous les deux se traquent.
Lorsque la fête d’Halloween fut venue, leurs gestes devinrent tendres,
Les lampadaires illuminaient la place réservée au grand bal,
Sur une musique effrayante, tous venaient danser une guinguette.
Le soir approche et les voiles de la nuit viennent s’étendre,
L’éclairage entre la lune et les étoiles est assez pâle,
Dans le ciel assombrit, volent les hiboux et les chouettes.
Leurs cris viennent effrayer les passants dans les ruelles.
Un cortège de gens déguisés inonde les recoins de la ville,
Les branches d’arbres presque nus sous le vent craquent.
Tels des fantômes invisibles qui cherchent à se faire entendre,
Ne laissant sur leurs chemins seulement, une étole, un châle,
Dans les horizons lointains, un air vient et entre dans ma tête,
Une sorcière auprès du diable s’amuse à faire la belle,
Derrière son masque, le diable sent battre son cœur fragile,
S’entrainant dans une course folle, tous les deux se traquent.
Lorsque la fête d’Halloween fut venue, leurs gestes devinrent tendres,
Les lampadaires illuminaient la place réservée au grand bal,
Sur une musique effrayante, tous venaient danser une guinguette.