L'homme a besoin de se nourir,
Avant il pouvait aller chasser, pêcher,
Aujourd'hui il n'a qu'une seule envie pour survivre,
Manger, mais où aller si ce n'est là où la femme aime à s'ennivrer.
Faire les commissions,
La corvée où tous les hommes peine à se faire trainer,
Pourrions-nous, hors os terrains de chasse, nous y retrouver,
Désormais, la collecte d'aliments est attribuée aux jupons.
Arrivé devant un supermarché,
L'homme paniqué, est stressé,
Réagit comme un animal traqué,
Accroché férocement à son bolide non motorisé.
Il transpire, courre, crie, presse sa femme,
Qui devant les rayons, d'imagination n'est pas en panne.
Pâtes, oeufs, couches, saucissons,
Spaghettis, pizzas, produits douche, que de rayons.
Enfin, la ligne d'arrivée,
La délivrance, le soulagement,
Et non ! Le dernier coup de grâce est arrivé,
Il faut payer, sortir le chéquier, résigner lamentablement.
Doucement, on glisse vers la sortie,
Ouf ! Sauvé pour quinze jours,
Mais pas de répis,
Sur son terrain de chasse, victorieuse, la femme revient toujours.
Avant il pouvait aller chasser, pêcher,
Aujourd'hui il n'a qu'une seule envie pour survivre,
Manger, mais où aller si ce n'est là où la femme aime à s'ennivrer.
Faire les commissions,
La corvée où tous les hommes peine à se faire trainer,
Pourrions-nous, hors os terrains de chasse, nous y retrouver,
Désormais, la collecte d'aliments est attribuée aux jupons.
Arrivé devant un supermarché,
L'homme paniqué, est stressé,
Réagit comme un animal traqué,
Accroché férocement à son bolide non motorisé.
Il transpire, courre, crie, presse sa femme,
Qui devant les rayons, d'imagination n'est pas en panne.
Pâtes, oeufs, couches, saucissons,
Spaghettis, pizzas, produits douche, que de rayons.
Enfin, la ligne d'arrivée,
La délivrance, le soulagement,
Et non ! Le dernier coup de grâce est arrivé,
Il faut payer, sortir le chéquier, résigner lamentablement.
Doucement, on glisse vers la sortie,
Ouf ! Sauvé pour quinze jours,
Mais pas de répis,
Sur son terrain de chasse, victorieuse, la femme revient toujours.