Nous étions des bons à rien ils allaient faire de nous des hommes !.
Nos chefs nous ont immédiatement mis dans l’ambiance celle qui fait regretter d’avoir signé son engagement pour voir du pays !.
La prise en main est ferme elle est impossible à imaginer pour celui qui n’a jamais mis les pieds dans un régiment parachutiste !.
Pas de doute j’avais choisi le bon celui qui grave à l’encre rouge les esprits à vie.
Un vrai parcours de guerre en temps de paie qui vous coupe en un instant du monde civilisé !.
Les connards que nous étions, ils allaient les mater en à peine un peu plus de deux mois.
Aucunes permissions de sortie n’étaient prévues il fallait rester dans le saint abri loin de l'agitation civile mal saine !.
Nous arrivions les cheveux longs les idées courtes nous allions finir nos classes le crâne rasé et bourré d’idées patriotiques sans failles.
Près à tuer père et mère si le chef nous l’avait ordonné !.
Rassurez-vous Momo n’est pas fou mais c’est ce que j’ai entendu de la bouche d’un para engagé.
Pourquoi avait-il signé cette satanée feuille je le lui demande....
"Mon papa et ma maman n’ont pas voulu m’acheter une mobylette !"
Là, il faut reconnaître que c’est une bonne raison !. C’était un excellent soldat !.
Nous étions en avril 1971 j’arrivais dans un régiment d’élite.
Rapidement nous avons été guidé vers l’intendance pour prendre possession de notre paquetage.
Rangers, tenue de combat, de sortie etc..
On nous dirigea ensuite vers notre piole au vieux parquet en bois qui paraissait très bien entretenu !.
Une quinzaine de lits des armoires en ferraille grise du type increvables !.
On nous ordonna sèchement de poser notre paquetage.
Tout s’enchaînait très vite les premiers jours.
Je résume rapidement...
Coiffeur pour une coupe à blanc...je ne reconnaissais plus mes nouveaux copains !.
On nous apprend à faire notre lit à plier nos affaires au carré à reconnaître l’ensemble de notre équipement et cela sous le regard attendri des chefs
qui n’hésitent pas à nous balancer une grande tarte dans la gueule si on ne comprend pas leurs explications !.
Il fallait nous disaient-ils que le commandant entendent la gifle cela le rassurait il savait que notre formation se déroulait correctement !.
Je n’ai pas trop eu à me plaindre j’apprenais vite et bien par contre ils avaient choisi de frapper fort sur certains pauvres bougres.
Et vous êtes là impuissant triste !.
Il y eu bien entendu la classique visite médicale avec la fameuse piqûre qui vous paralyse le bras et vous rend malade comme un chien parfois !.
Pour moi tout se passe bien heureusement.
On nous apprend le maniement des armes à marcher au pas des heures durant les chansons paras cadencent nos marches.
Je vais maintenant vous citer une succession de situations lors des classes dans ce régiment disciplinaire !.
Je viens de vous parler de la marche au pas...
Sous la pluie et face à un mur logiquement nous sommes arrêtés.
Erreur ordre ne nous avait pas été donné de stopper !.
Bites à culs nous avons fait face au mur en simulant la marche pendant plus d’une heure.
Une nuit vers quatre heures du matin nous avons eu droit à une revue de piole surprise !.
Affaires pliées au carré, Rangers cirés tout était nickel...
Pourtant une partie de nos tenues s’est retrouvée au milieu de la chambre...
Nos chaussures rangers cirés et finis à la salive pour les faire briller d’un éclat exceptionnel.
Ils les retournent....
"Vous n’avez pas ciré les semelles !"
Ils ouvrent la fenêtre de la piole et nous balancent l’ensemble des godasses dans la cour.
Bonjour pour retrouver ses pompes et trier les pointures.
Peu de temps après la levée du drapeau en T-shirt au mois d’avril quelque soit le temps, ils nous ont occupé à huiler les armes et à les mettre à sec et cela jusqu’à vingt trois heures le soir.
Ils passaient toutes les demi-heures une allumettes affûtée et ils vérifier la mise à sec où le bon graissage...
Évidemment ils trouvaient toujours des traces d’huile, soit on se prenait un coup de crosse, une baffe, ou on se tapait une série de pompes.
Deux paras un derrière l’autre ...
Whaa ! whaa....le salaud il me mordrait !..30 pompes minimum..
Ou, Brigitte Bardot est une putain...,
tu es trop con pour la baiser !...
Un soir je décide de me raser je n’aurais pas à le faire me levant !.
Le chef le matin s’en aperçoit me choppe la joue entre son index et son pouce et me dit tu ne t’es pas rasé ce matin Marcouly !.
Si chef !....tu ne t’es pas rasé...si chef....et il commence à mevbalader pendant une demi heure dans tous les coins du bâtiment sans me lâcher et me repose la question...
Tu ne t’es pas rasé ce matin ?.
Si chef !.....
Et bien, je suis fier de toi Marcouly tu te raseras comme ça tous les matins !....oui chef !..,
C’est ainsi que j’ai gagné un galon et que j’ai eu la paix jusqu’à la fin des classes.
Nous avons eu droit au nettoyage de la zone de tir à la petite pelle pour nous occuper un jour férié du mois de mai.
Les engagés on les rencontrait au bar de la caserne.
Une fois alors que je buvais une bière à l’extérieur avec un copain, deux félés se sont pointés et nous ont dit finissez vos bières on va lancer deux grenades en visant le centre de la table.
Ils se sont mis à dix mètres de nous
ont fait semblant de dégoupiller les bouteilles et les ont balançaient dans notre direction, elles sont tombées au centre de la table sans exploser heureusement !.
Tous les matins on allait faire un entraînement de course à pied.
J’étais dans mon élément j’avais participé dans le civil à diverses courses et j’étais parmis les meilleurs espoirs, d’ailleurs un entraîneur national était venu spécialement me chronométrer sur diverses distances.
Tout en me baladant j’arrivais largement devant les meilleurs de la caserne.
Jusque au jour où je m’entrave et je m’ouvre la pomme de la main gauche.
Un des chefs me dit tu ne sais pas courir on nous avez dit que tu étais un champion !.
Tu sais grimper à la corde ?.
Ce connard avait son idée heureusement le chef qui m’avait tenu par la joue est intervenu sinon j’avais droit à une montée de corde la main ouverte.
Cela m’amène directement à l’infirmerie où je vais assister à une scène assez incroyable.
Deux engagés s’étaient accrochés sans se manquer.
L’un dit à l’autre de toute façon tu n’as de couilles.
Regarde, il sort un couteau le met sur le banc sur lequel on avait pris place pose sa main à plat et dit à l’autre...
Plante le moi dans la main....
Sans hésiter l’autre choppe le couteau et clou la main de l’autre !.
Inutile le vous dire que le service d’urgence a vite été alerté !.
Soigné j’ai appris par la suite que l'agresseur était parti au niouf et qu’il s’était fracassé la tête contre les barreaux du lit...
J’ai assisté aussi à une tentative de suicide d’un engagé.
Pendu aux barreaux d’une fenêtre au deuxième étage d’une piole il se taillait les veines du poignet.
En bas certains paras tentaient de le résonner...
Avant d’être breveté parachutiste nous sommes partis en manœuvre .
Une semaine débarqués en pleine montagne noire....
Nous étions les français, les paras du troisième RPIMA étaient les Russes.
Une semaine avec le barda sur le dos et les flingues.
Les Russes nous avaient repérés et nous suivaient à la trace!.
Ils demandaient aux paysans du coin, vous n’avez pas vu passer des paras.
Si, si, passez par là c’est un raccourci vous devriez les rattraper.
Ils se postaient avec les engins motorisés et nous sulfataient au passage en donnant notre position.
Je mevsouviens on courait comme des lapins tout droit, nos chefs nous ordonnaient de zigzaguer pour éviter les balles !.
Mais ils tiraient à blanc bien sûr, et on ne les écoutait pas.
Nous n’avions pas intérêt que les Russes nous fassent prisonniers ils nous auraient mis presque à poil en pleine pampa !.
On faisait 30 à 40 kilomètres par jour, nos chefs bizarrement étaient tous sympas il se méfiaient de nous je pense on n’était plus à la caserne.
J’aidé les moins sportifs en portant leur fusil leur sac en les encourageant !.
L’esprit de solidarité était bien présent.
Les rations corned beef, pain de guerre, j’ai ouvert une boîte de sardines datée de 1956 !.
Je vous explique pas l’odeur, on a bu l’eau d’une marre à canards !.
Plus tard nous sommes partis à Pau pour obtenir le brevet de parachutiste et j’ai retrouvé les tours d’entraînement, appel et arrivée.
Les paras de Pau nous craignaient on arrivait les derniers pour manger et on passait sans respecter la file d’attente!.
Après plusieurs sauts avec les flingues dont un en zone boisé
la nuit le sulky (un para gradé généralement voyant arriver le bois s’était arrangeait pour l’éviter).
Le pilote du Nord Atlas largue les hommes en fonction de la position du sulky voilà comment on s’est retrouvé dans le bois. Une seule idée apprise à l’instruction protéger les parties les plus précieuses !.,
Enfin pour finir nous avons participé à la marche de la fourragère 40 kilomètres environ.
Voilà on a eu droit aux honneurs de notre corps d’armée nous étions des devenus des hommes enfin.
Notre première perm était la bienvenue après plus deux mois d’instruction.
J’ai tout écrit d’un trait je ne me relis pas....
Mon amitié à tous
Momo le clochard est un ancien Para...devenu un parasite de Créa
Nos chefs nous ont immédiatement mis dans l’ambiance celle qui fait regretter d’avoir signé son engagement pour voir du pays !.
La prise en main est ferme elle est impossible à imaginer pour celui qui n’a jamais mis les pieds dans un régiment parachutiste !.
Pas de doute j’avais choisi le bon celui qui grave à l’encre rouge les esprits à vie.
Un vrai parcours de guerre en temps de paie qui vous coupe en un instant du monde civilisé !.
Les connards que nous étions, ils allaient les mater en à peine un peu plus de deux mois.
Aucunes permissions de sortie n’étaient prévues il fallait rester dans le saint abri loin de l'agitation civile mal saine !.
Nous arrivions les cheveux longs les idées courtes nous allions finir nos classes le crâne rasé et bourré d’idées patriotiques sans failles.
Près à tuer père et mère si le chef nous l’avait ordonné !.
Rassurez-vous Momo n’est pas fou mais c’est ce que j’ai entendu de la bouche d’un para engagé.
Pourquoi avait-il signé cette satanée feuille je le lui demande....
"Mon papa et ma maman n’ont pas voulu m’acheter une mobylette !"
Là, il faut reconnaître que c’est une bonne raison !. C’était un excellent soldat !.
Nous étions en avril 1971 j’arrivais dans un régiment d’élite.
Rapidement nous avons été guidé vers l’intendance pour prendre possession de notre paquetage.
Rangers, tenue de combat, de sortie etc..
On nous dirigea ensuite vers notre piole au vieux parquet en bois qui paraissait très bien entretenu !.
Une quinzaine de lits des armoires en ferraille grise du type increvables !.
On nous ordonna sèchement de poser notre paquetage.
Tout s’enchaînait très vite les premiers jours.
Je résume rapidement...
Coiffeur pour une coupe à blanc...je ne reconnaissais plus mes nouveaux copains !.
On nous apprend à faire notre lit à plier nos affaires au carré à reconnaître l’ensemble de notre équipement et cela sous le regard attendri des chefs
qui n’hésitent pas à nous balancer une grande tarte dans la gueule si on ne comprend pas leurs explications !.
Il fallait nous disaient-ils que le commandant entendent la gifle cela le rassurait il savait que notre formation se déroulait correctement !.
Je n’ai pas trop eu à me plaindre j’apprenais vite et bien par contre ils avaient choisi de frapper fort sur certains pauvres bougres.
Et vous êtes là impuissant triste !.
Il y eu bien entendu la classique visite médicale avec la fameuse piqûre qui vous paralyse le bras et vous rend malade comme un chien parfois !.
Pour moi tout se passe bien heureusement.
On nous apprend le maniement des armes à marcher au pas des heures durant les chansons paras cadencent nos marches.
Je vais maintenant vous citer une succession de situations lors des classes dans ce régiment disciplinaire !.
Je viens de vous parler de la marche au pas...
Sous la pluie et face à un mur logiquement nous sommes arrêtés.
Erreur ordre ne nous avait pas été donné de stopper !.
Bites à culs nous avons fait face au mur en simulant la marche pendant plus d’une heure.
Une nuit vers quatre heures du matin nous avons eu droit à une revue de piole surprise !.
Affaires pliées au carré, Rangers cirés tout était nickel...
Pourtant une partie de nos tenues s’est retrouvée au milieu de la chambre...
Nos chaussures rangers cirés et finis à la salive pour les faire briller d’un éclat exceptionnel.
Ils les retournent....
"Vous n’avez pas ciré les semelles !"
Ils ouvrent la fenêtre de la piole et nous balancent l’ensemble des godasses dans la cour.
Bonjour pour retrouver ses pompes et trier les pointures.
Peu de temps après la levée du drapeau en T-shirt au mois d’avril quelque soit le temps, ils nous ont occupé à huiler les armes et à les mettre à sec et cela jusqu’à vingt trois heures le soir.
Ils passaient toutes les demi-heures une allumettes affûtée et ils vérifier la mise à sec où le bon graissage...
Évidemment ils trouvaient toujours des traces d’huile, soit on se prenait un coup de crosse, une baffe, ou on se tapait une série de pompes.
Deux paras un derrière l’autre ...
Whaa ! whaa....le salaud il me mordrait !..30 pompes minimum..
Ou, Brigitte Bardot est une putain...,
tu es trop con pour la baiser !...
Un soir je décide de me raser je n’aurais pas à le faire me levant !.
Le chef le matin s’en aperçoit me choppe la joue entre son index et son pouce et me dit tu ne t’es pas rasé ce matin Marcouly !.
Si chef !....tu ne t’es pas rasé...si chef....et il commence à mevbalader pendant une demi heure dans tous les coins du bâtiment sans me lâcher et me repose la question...
Tu ne t’es pas rasé ce matin ?.
Si chef !.....
Et bien, je suis fier de toi Marcouly tu te raseras comme ça tous les matins !....oui chef !..,
C’est ainsi que j’ai gagné un galon et que j’ai eu la paix jusqu’à la fin des classes.
Nous avons eu droit au nettoyage de la zone de tir à la petite pelle pour nous occuper un jour férié du mois de mai.
Les engagés on les rencontrait au bar de la caserne.
Une fois alors que je buvais une bière à l’extérieur avec un copain, deux félés se sont pointés et nous ont dit finissez vos bières on va lancer deux grenades en visant le centre de la table.
Ils se sont mis à dix mètres de nous
ont fait semblant de dégoupiller les bouteilles et les ont balançaient dans notre direction, elles sont tombées au centre de la table sans exploser heureusement !.
Tous les matins on allait faire un entraînement de course à pied.
J’étais dans mon élément j’avais participé dans le civil à diverses courses et j’étais parmis les meilleurs espoirs, d’ailleurs un entraîneur national était venu spécialement me chronométrer sur diverses distances.
Tout en me baladant j’arrivais largement devant les meilleurs de la caserne.
Jusque au jour où je m’entrave et je m’ouvre la pomme de la main gauche.
Un des chefs me dit tu ne sais pas courir on nous avez dit que tu étais un champion !.
Tu sais grimper à la corde ?.
Ce connard avait son idée heureusement le chef qui m’avait tenu par la joue est intervenu sinon j’avais droit à une montée de corde la main ouverte.
Cela m’amène directement à l’infirmerie où je vais assister à une scène assez incroyable.
Deux engagés s’étaient accrochés sans se manquer.
L’un dit à l’autre de toute façon tu n’as de couilles.
Regarde, il sort un couteau le met sur le banc sur lequel on avait pris place pose sa main à plat et dit à l’autre...
Plante le moi dans la main....
Sans hésiter l’autre choppe le couteau et clou la main de l’autre !.
Inutile le vous dire que le service d’urgence a vite été alerté !.
Soigné j’ai appris par la suite que l'agresseur était parti au niouf et qu’il s’était fracassé la tête contre les barreaux du lit...
J’ai assisté aussi à une tentative de suicide d’un engagé.
Pendu aux barreaux d’une fenêtre au deuxième étage d’une piole il se taillait les veines du poignet.
En bas certains paras tentaient de le résonner...
Avant d’être breveté parachutiste nous sommes partis en manœuvre .
Une semaine débarqués en pleine montagne noire....
Nous étions les français, les paras du troisième RPIMA étaient les Russes.
Une semaine avec le barda sur le dos et les flingues.
Les Russes nous avaient repérés et nous suivaient à la trace!.
Ils demandaient aux paysans du coin, vous n’avez pas vu passer des paras.
Si, si, passez par là c’est un raccourci vous devriez les rattraper.
Ils se postaient avec les engins motorisés et nous sulfataient au passage en donnant notre position.
Je mevsouviens on courait comme des lapins tout droit, nos chefs nous ordonnaient de zigzaguer pour éviter les balles !.
Mais ils tiraient à blanc bien sûr, et on ne les écoutait pas.
Nous n’avions pas intérêt que les Russes nous fassent prisonniers ils nous auraient mis presque à poil en pleine pampa !.
On faisait 30 à 40 kilomètres par jour, nos chefs bizarrement étaient tous sympas il se méfiaient de nous je pense on n’était plus à la caserne.
J’aidé les moins sportifs en portant leur fusil leur sac en les encourageant !.
L’esprit de solidarité était bien présent.
Les rations corned beef, pain de guerre, j’ai ouvert une boîte de sardines datée de 1956 !.
Je vous explique pas l’odeur, on a bu l’eau d’une marre à canards !.
Plus tard nous sommes partis à Pau pour obtenir le brevet de parachutiste et j’ai retrouvé les tours d’entraînement, appel et arrivée.
Les paras de Pau nous craignaient on arrivait les derniers pour manger et on passait sans respecter la file d’attente!.
Après plusieurs sauts avec les flingues dont un en zone boisé
la nuit le sulky (un para gradé généralement voyant arriver le bois s’était arrangeait pour l’éviter).
Le pilote du Nord Atlas largue les hommes en fonction de la position du sulky voilà comment on s’est retrouvé dans le bois. Une seule idée apprise à l’instruction protéger les parties les plus précieuses !.,
Enfin pour finir nous avons participé à la marche de la fourragère 40 kilomètres environ.
Voilà on a eu droit aux honneurs de notre corps d’armée nous étions des devenus des hommes enfin.
Notre première perm était la bienvenue après plus deux mois d’instruction.
J’ai tout écrit d’un trait je ne me relis pas....
Mon amitié à tous
Momo le clochard est un ancien Para...devenu un parasite de Créa
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