Les ciels d’azur me ceignent
Les sentes dansent dès que surgissent à l’aube
les lances du Soleil,
les oiseaux effleurent les cimes des arbres,
et glorifient les psaumes des saisons,
les lances du Soleil,
les oiseaux effleurent les cimes des arbres,
et glorifient les psaumes des saisons,
les ciels d’azur me ceignent,
et baignent mes stances de poétesse,
je chemine vers le halo de ta Lumière,
toi, ma Muse, ma sainte.
et baignent mes stances de poétesse,
je chemine vers le halo de ta Lumière,
toi, ma Muse, ma sainte.
Baigne-moi encore de ta délicatesse,
notre vie est si pure
que nous sommes invisibles
pour le restant des humains,
notre vie est si pure
que nous sommes invisibles
pour le restant des humains,
ton Amour me nimbe,
et me porte jusqu’à la tapisserie des étoiles,
jusqu’à la source de ta douceur,
là où tu régentes la vraie vie.
et me porte jusqu’à la tapisserie des étoiles,
jusqu’à la source de ta douceur,
là où tu régentes la vraie vie.
Désaltère-toi
en la fontaine de clarté,
laisse-moi emplir mon seau de tes sourires,
laisse-moi t’énoncer
en la fontaine de clarté,
laisse-moi emplir mon seau de tes sourires,
laisse-moi t’énoncer
la respiration des vagues
le long des rivages du monde.
Vois, la voie lactée sait
l’infini de ta sublimité,
le long des rivages du monde.
Vois, la voie lactée sait
l’infini de ta sublimité,
cajole-moi de tes regards,
et de tes mots
dessus
la terre assoiffée de ma tendresse,
et de tes mots
dessus
la terre assoiffée de ma tendresse,
emporte-moi
au sommet de faisceaux d’écorce,
en la houle de tes yeux,
je serai à jamais l’astre de ta vie !
au sommet de faisceaux d’écorce,
en la houle de tes yeux,
je serai à jamais l’astre de ta vie !
Sophie Rivière