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Les Choses dont Je Cause

#1
C est un écrit parmi tant d autre, par qui débute mon histoire et la vôtre. Insondable? Imbuvable pavé se pavanant lourd de ses mots courts énumérés comme autant de rêves inénarrables?
Nature, enfance, verdure, chance,buis, nuit, lac, tact, nuée, bleuet. En voici un tri fort peu exhaustif. Mais pas plus extensif.

Moins le résultat de nombreuses heures de recherche que les essais d un poète qui se cherche, il est temps de passer à la suite. Royal. Maintenant je prend la fuite. Féal de mon propre idéal, je me plait a divaguer pour créé le non sens. Vous tournez à droite, je prend à gauche. Vous avez les mains moites, les miennes n esquissent que des ébauches. De quoi? Plein de chose. Maladroit, je me lance dans la prose. J y dépose la fleur d un délire incontenu, une simple rose. Noire. Comme le deuil. Aujourd hui mon amie est venu à moi, me disant qu'on ne lui avais pas laisser le choix. Quel choix? Aucun. Nous ne sommes que des pantins m a t elle dit. Et adieu. Sur quoi lui repondis-je:"le quel?" Elle me devisagea, attristée ou esseulée par l orgueil de notre société, tandis que je vis à ses poignets de poignantes laceration superficielles. Des larmes en perlaient. Noires de rouge. Elle redescendit ses manches, puis partit par la grille qui tout les jours nous retient comme autant d animaux sauvage, puis elle disparue, pour n être jamais revenue.

Des animaux sauvages. Je vais parfois à la sortie des écoles. Triste chose, folle chose. Ici on joue à la guerre, là à la chasse a l homme, car le petit gnome avec ses lunettes nous a dénoncé pour nos chewing-gum. Misère. Le prof se tait, les élèves parlent. Pas un n écoute. Car si tu écoute, tu es un leche-botte du prof. Dites moi a la fin, qui sont les lèche-bottes? Pas ceux qui prennent une cigarette pour faire comme les autres? Pas ceux qui obéissent au doigts et a l oeil du caïd du quartier, jusqu'à faire des choses contre natures, choses qui nous révulsent? Apparemment non. Mais c est normal, c est la nature humaine. Créatures superieures par leur faculté a se classer soi-même, faire du feu, enterrer ses morts, en des lieux tôt recouvert de béton. Créatures superficielles plutôt, victimes de leur propre chimère, un hydre à sept milliards de tête, bientôt neuf.

Mais qu'importe, car on va de l avant. L innovation, c est le progrès. La Rénovation c est du concret. Tellement que l on voit le mur qui se dresse devant nous; mais si l on fonce dedans, on finira par le détruire.
Détruire. Détruire, c est comme une seconde nature.

Pas pour moi. Je rêve toujours de voler sur les ailes d un oiseau blanc haut dans le ciel, sous moi un océan d eau, pas de plastique, et une terre verdoyqnte plus qu'une contrée aride et désertique.
Et vous m analyser. Chercher à comprendre, quand même moi je ne me comprend pas. Parce qu' une dépression, c est normal, mais l'acceptation de soi, beaucoup moins. Cette abnégation de l individu, c est une autre page. Que dis-je? Un autre pavé, tout aussi imbuvable.

Affreux. C est affreux ce qui se passent. Il faut changer les choses! Mais d autre le ferons. Je ne suis pas assez bon pour cela.
Je n en est pas le pouvoir. Pourtant, face à vous aujourd hui, je vous montre que même un début tant comme moi, peu mettre quelqu un en émoi.

C est le pouvoir des mots issus de nos maux, glissant sur ma langue comme autant de professeur nous hissant de leurs harangues du trou noir dans lequel on se complaît, ce puit de néant ,défouloir de nos sentiments pour lesquelles on se tait.

Dire les choses ou les écrire, en vers ou bien en prose, revient à montrer nos délires,
Sur le sens profond des réflexion que l on ose.

Rien est a revoir. Tout est à refaire.