Les brins d’herbe se courbent
J’ai placardé sur les murs invisibles des bocages,
et des bourgs, la magnificence de ton visage,
et l’océan de ta vénusté,
Toi ma Muse, ma Syllabe de vie,
et des bourgs, la magnificence de ton visage,
et l’océan de ta vénusté,
Toi ma Muse, ma Syllabe de vie,
laisse-moi m’allonger
sur le cristal de ta douceur.
Tu es l’enfance du Monde,
le Soleil des galaxies,
sur le cristal de ta douceur.
Tu es l’enfance du Monde,
le Soleil des galaxies,
dès que je t’aperçois,
je crie terre, à terre,
à tous les animaux de la création,
et aux bateaux de l’Univers,
je crie terre, à terre,
à tous les animaux de la création,
et aux bateaux de l’Univers,
les brins d’herbe se courbent
face au miel de ta délicatesse,
Toi
qui règnes sur les ciels de poésie.
face au miel de ta délicatesse,
Toi
qui règnes sur les ciels de poésie.
Moi qui ne suis que l’ombre de ton ombre,
écris dessus les étoiles, et les nuages,
l’épopée de ton Souffle,
et sème à tout vent
écris dessus les étoiles, et les nuages,
l’épopée de ton Souffle,
et sème à tout vent
les
flammes
de notre
Amour.
flammes
de notre
Amour.
Je t’attends, paumes levées,
effleure-moi de tes lèvres,
et je psalmodierai à jamais
le jardin de ta Lumière !
effleure-moi de tes lèvres,
et je psalmodierai à jamais
le jardin de ta Lumière !
Sophie Rivière