A force de s'éveiller dans les bras de l'absence,
Les songes en leur entier privés d 'une présence,
S'endeuillent de désirs sous le vide croissant,
L'esprit du néant s'échoue à en devenir dément.
Le coeur ne s'entend plus ,il embrasse le silence,
Ses veines transpercées ,le sang s'échappe lent,
Rien ne peut retenir sa longue déchéance ,
Il ne sait plus gérer la moindre notion de temps.
ô ! temps que je te hais, quand tu te fais tourment,
Tu te plais à compter mes heures de défaillance,
J'ai le corps épuisé , ravagé , résigné à l'errance,
Je ne sais plus lutter m'enlisant lentement...
A toutes et tous , mariés, ou accompagnés
Et qui sont toujours seuls....
A une amie en particulier
Elle se reconnaitra
Les songes en leur entier privés d 'une présence,
S'endeuillent de désirs sous le vide croissant,
L'esprit du néant s'échoue à en devenir dément.
Le coeur ne s'entend plus ,il embrasse le silence,
Ses veines transpercées ,le sang s'échappe lent,
Rien ne peut retenir sa longue déchéance ,
Il ne sait plus gérer la moindre notion de temps.
ô ! temps que je te hais, quand tu te fais tourment,
Tu te plais à compter mes heures de défaillance,
J'ai le corps épuisé , ravagé , résigné à l'errance,
Je ne sais plus lutter m'enlisant lentement...
A toutes et tous , mariés, ou accompagnés
Et qui sont toujours seuls....
A une amie en particulier
Elle se reconnaitra