Les âmes se disant belles, sont laides dans leur banalité.
Elles excellent à épater, à vous faire voir, à se montrer.
Elles exhibent leurs talents de piètre grandeur, de fausseté.
Elles vous collent à la peau comme des fruits bigarrés.
Elles vous envahissent, vous inhibent, vous masquent la beauté.
La vigilance est de rigueur, évitez celles vraiment athées.
N'invoquez pas le Maître, elles sont par lui écartées.
Penchez-vous sur celles, bien moins belles, mais exaltées.
Elles ne vous attirent pas, observez-les, elles respirent,
D'une manière plus saine, elles sont capables de vous dire,
Que le fond de l'être humain est un capharnaum putréfié,
Qui sent mauvais à la ronde, parfois contaminé,
Qui tente, qui essaie, par tous moyens de se justifier,
Mais qui s'enfonce inéluctablement, dans des abîmes non maitrisés.
Elles cherchent à vous donner digne contenance,
Grande honte de penser d'avoir bonne conscience.
Tâchez, essayez un peu de ne pas geler vos neurones, activez,
Remettez un courant alternatif réfléchi, un brin d'humanité,
Oubliez certains billets prénommés argent,
Garnissez votre âme d'un label détergent.
Il peut-être encore venu le moment de penser,
De rechercher la « vraie » vérité, et de s'apprécier, désintéressé.
Agrégo
Elles excellent à épater, à vous faire voir, à se montrer.
Elles exhibent leurs talents de piètre grandeur, de fausseté.
Elles vous collent à la peau comme des fruits bigarrés.
Elles vous envahissent, vous inhibent, vous masquent la beauté.
La vigilance est de rigueur, évitez celles vraiment athées.
N'invoquez pas le Maître, elles sont par lui écartées.
Penchez-vous sur celles, bien moins belles, mais exaltées.
Elles ne vous attirent pas, observez-les, elles respirent,
D'une manière plus saine, elles sont capables de vous dire,
Que le fond de l'être humain est un capharnaum putréfié,
Qui sent mauvais à la ronde, parfois contaminé,
Qui tente, qui essaie, par tous moyens de se justifier,
Mais qui s'enfonce inéluctablement, dans des abîmes non maitrisés.
Elles cherchent à vous donner digne contenance,
Grande honte de penser d'avoir bonne conscience.
Tâchez, essayez un peu de ne pas geler vos neurones, activez,
Remettez un courant alternatif réfléchi, un brin d'humanité,
Oubliez certains billets prénommés argent,
Garnissez votre âme d'un label détergent.
Il peut-être encore venu le moment de penser,
De rechercher la « vraie » vérité, et de s'apprécier, désintéressé.
Agrégo