L'Enfer sur Terre
- Auteur de la discussion Perceval
- Date de début
Paradis et enfer, deux mondes différents.
Un jeu entre eux, c'est comme rechercher les sept différences entre deux images !
Tricher, faut piocher et pêcher sont les solutions ?
Rêver nous fait monter au huitième ciel ébloui ?
Non ou oui ?
Tous deux sans sexe n'ont qu'une seule envie,
Nous élever déjà jusqu'au septième selon nos vécus et leurs instants momentanés...
Amour, plaisir et mettre le feu...
Amitiés pour ce bel écit et mon agréable lecture
Fred
Un jeu entre eux, c'est comme rechercher les sept différences entre deux images !
Tricher, faut piocher et pêcher sont les solutions ?
Rêver nous fait monter au huitième ciel ébloui ?
Non ou oui ?
Tous deux sans sexe n'ont qu'une seule envie,
Nous élever déjà jusqu'au septième selon nos vécus et leurs instants momentanés...
Amour, plaisir et mettre le feu...
Amitiés pour ce bel écit et mon agréable lecture
Fred
La guerre.
L'évanescence en deuil royal sonne sa cloche,
Ses yeux, sont des brassées de fleurs sans passion,
Se masque le soleil levant, sous l'onction,
La harpe en main bat son appel et s'effiloche,
Sa crinière de pieds fourchus fête l'arbre
Sa caravane, enfer d'oiseaux de paradis !
L'immensité du ciel brûlé qu'ose l'iblis
Chatoyant d'or graver le soir sur l'âcre marbre,
De son sabbat n'est qu'un piteux déguisement,
Des combattants tombés hier en herbes folles,
Trismegistes, huant ses longs pleurs de paroles
La victoire hélas n'est qu'un frémissement
Et demain n'est qu'un long passé, la mélodie
De la guerre, celui du front, sic... Parodie.
L'évanescence en deuil royal sonne sa cloche,
Ses yeux, sont des brassées de fleurs sans passion,
Se masque le soleil levant, sous l'onction,
La harpe en main bat son appel et s'effiloche,
Sa crinière de pieds fourchus fête l'arbre
Sa caravane, enfer d'oiseaux de paradis !
L'immensité du ciel brûlé qu'ose l'iblis
Chatoyant d'or graver le soir sur l'âcre marbre,
De son sabbat n'est qu'un piteux déguisement,
Des combattants tombés hier en herbes folles,
Trismegistes, huant ses longs pleurs de paroles
La victoire hélas n'est qu'un frémissement
Et demain n'est qu'un long passé, la mélodie
De la guerre, celui du front, sic... Parodie.