Ce n'est pas une poésie
mais une grande tragédie
sur des terres trop sanglantes
face aux nations indifférentes
des enfants meurent en jouant
car coupables d'être innocents.
On bombarde leurs territoires
pillés par une armée sans gloire
que peuvent faire quelques pierres
contre des brutes sanguinaires
les colons sont leurs charognards
se répandant tels des cafards.
Et sous chaque pluie de bombes
on compte les enfants qui tombent
cris de douleur de leurs parents
sur la plaine des hurlements
anges du ciel assassinés
le Monde veut les oublier.
Ce n'est pas une poésie
mais une grande hégémonie
que ce peuple martyrisé
sous les pays aux yeux baissés
les enfants meurent de jouer
coupables d'être abandonnées.
Du haut de leurs printemps
ils pleurent sur le sang
de la pauvre colombe
écrasée par les bombes.
Il n'y a plus de fées
le soir à raconter
il reste les histoires
aux cris de désespoir.
La lune s'est voilée
sur les atrocités
de l'extermination
de toute une nation.
Quand même les poupées
sont désarticulées
par les gerbes d'obus
les enfants ne jouent plus.
C'est sur le sol marbré
de leurs rêves brisés
qu'ils divaguent noircis
de fumée et de suie.
Ils n'ont plus de maison
rasée par les colons
ils n'ont plus d'existence
leur vie n'est qu'une errance.
Tragique destinée
qui leur est imposée
sous la loi des fusils
et des Nations Unies.
Coupables d'être enfants
pauvres et innocents
ils paient le lourd tribut
d'un peuple résolu.
Mais du fond de la plaine
arrivent souveraines
les marées de colère
aux pierres qui libèrent.
A côté des parents
quand ce n'est pas devant
ils délivrent leur monde
à portée de leurs frondes.
Parfois l'un de ces anges
se transforme en mésange
pour prendre au paradis
ce qu'on lui doit ici:
Le bonheur d'être aimé
dans la sérénité
d'un pays affranchi
de toutes ces tueries.
Du haut de leurs printemps
il pleurent les tourments
de leur terre occupée
par de vils meurtriers.
Vik
Ils ont osé
encore une fois
les meurtiers
de l'enfant-roi
mais une grande tragédie
sur des terres trop sanglantes
face aux nations indifférentes
des enfants meurent en jouant
car coupables d'être innocents.
On bombarde leurs territoires
pillés par une armée sans gloire
que peuvent faire quelques pierres
contre des brutes sanguinaires
les colons sont leurs charognards
se répandant tels des cafards.
Et sous chaque pluie de bombes
on compte les enfants qui tombent
cris de douleur de leurs parents
sur la plaine des hurlements
anges du ciel assassinés
le Monde veut les oublier.
Ce n'est pas une poésie
mais une grande hégémonie
que ce peuple martyrisé
sous les pays aux yeux baissés
les enfants meurent de jouer
coupables d'être abandonnées.
Du haut de leurs printemps
ils pleurent sur le sang
de la pauvre colombe
écrasée par les bombes.
Il n'y a plus de fées
le soir à raconter
il reste les histoires
aux cris de désespoir.
La lune s'est voilée
sur les atrocités
de l'extermination
de toute une nation.
Quand même les poupées
sont désarticulées
par les gerbes d'obus
les enfants ne jouent plus.
C'est sur le sol marbré
de leurs rêves brisés
qu'ils divaguent noircis
de fumée et de suie.
Ils n'ont plus de maison
rasée par les colons
ils n'ont plus d'existence
leur vie n'est qu'une errance.
Tragique destinée
qui leur est imposée
sous la loi des fusils
et des Nations Unies.
Coupables d'être enfants
pauvres et innocents
ils paient le lourd tribut
d'un peuple résolu.
Mais du fond de la plaine
arrivent souveraines
les marées de colère
aux pierres qui libèrent.
A côté des parents
quand ce n'est pas devant
ils délivrent leur monde
à portée de leurs frondes.
Parfois l'un de ces anges
se transforme en mésange
pour prendre au paradis
ce qu'on lui doit ici:
Le bonheur d'être aimé
dans la sérénité
d'un pays affranchi
de toutes ces tueries.
Du haut de leurs printemps
il pleurent les tourments
de leur terre occupée
par de vils meurtriers.
Vik
encore une fois
les meurtiers
de l'enfant-roi
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