Nous étions comme cette felouque seule sur le large
Loin de la terre et des vertes prairies
Que les vents poussent sans cesse loin du rivage
La ou les sirènes chantent le bonheur et la paix
Les bateaux rentrant ne purent percevoir
Le triste chant des pauvres marins
Qui fatigués de chanter l'espoir
Se résignèrent à leur triste fin
Ces marins comme si nés sur les flots
Savaient des joies de la terre comme par magie
Et bien qu'ils tentèrent d'évincer l'océan
Ils vécurent toujours loin des quais
ssa
Loin de la terre et des vertes prairies
Que les vents poussent sans cesse loin du rivage
La ou les sirènes chantent le bonheur et la paix
Les bateaux rentrant ne purent percevoir
Le triste chant des pauvres marins
Qui fatigués de chanter l'espoir
Se résignèrent à leur triste fin
Ces marins comme si nés sur les flots
Savaient des joies de la terre comme par magie
Et bien qu'ils tentèrent d'évincer l'océan
Ils vécurent toujours loin des quais
ssa