Les plus beaux paysages du monde, j’en sillonne tous les chemins
Des premières aurores boréales jusqu’aux crépuscules indiens
Ils ont forcement des couleurs de terre de sienne ou de sable fin
Des parfums d’orangers ou de lavande dans la fraîcheur du matin.
Ces paysages se sont les courbes de ton corps, ta peau satinée
Qui glisse sous mes doigts quand je viens la caresser
Les lignes sensuelles où gouttent les premières sensations de l’été
Quand celles-ci se teintent d’un voile légèrement halé.
Les plus beaux paysages du monde, je les sillonne dès le lever du jour
Aux bruissements de la bise légère ou de la tempête qui savoure
Avec fracas les falaises d’ Etretat ou les canyons de l’Arizona
Et s’échoue en éclair sous un ciel de savane africaine qui rougeoie.
Ces paysages se sont les traits de ton visage charismatique
Quand tes pensées partent dans un monde énigmatique
Alors j’aperçois dans ton regard perdu dans l’infiniment grand
Les nébuleuses, l’univers, toute l’éternité sous un fond d’océan.
Les plus beaux paysages du monde je les sillonne depuis des années
Des déserts australiens où la route parait ne jamais s’arrêter
Aux carrefours place de l’étoile où tout se met à tourbillonner
Tel un manège sur la place de Moscou, sous une pluie glacée.
Ces paysages, je ne cesse de les contempler dans tes yeux
Quand ils m’enveloppent en plus d’un sourire amoureux
Je suis sur une île déserte où je m’offre sans retenue
Le corps lascif impatiente de sentir ta peau nue.
Les plus beaux paysages du monde je les sillonne tous les soirs
Des îles grecques, à l’Islande, où la glace comme un miroir
Me renvoie la beauté des fleurs hawaïennes aux odeurs musquées
Qui emplissent l’ambiance de nos nuits, de douce volupté.
Ces paysages défilent sous les pas de ta silhouette masculine
Qui marche féline dans une ambiance d’ombre de chine
Où l’obélisque de Louxor va bientôt s’éveiller à l’aurore
Au contact chaud de mon corps qui dort encore.
Les plus beaux paysages du monde je les sillonne avec toi
Des abysses les plus profondes jusqu’au sommet du Fuji-yama
Et Je ressens en moi tous les volcans de la terre entière se réveiller
Quand de tes doigts légèrement humides, tu viens m’effleurer.
Isabelle
Des premières aurores boréales jusqu’aux crépuscules indiens
Ils ont forcement des couleurs de terre de sienne ou de sable fin
Des parfums d’orangers ou de lavande dans la fraîcheur du matin.
Ces paysages se sont les courbes de ton corps, ta peau satinée
Qui glisse sous mes doigts quand je viens la caresser
Les lignes sensuelles où gouttent les premières sensations de l’été
Quand celles-ci se teintent d’un voile légèrement halé.
Les plus beaux paysages du monde, je les sillonne dès le lever du jour
Aux bruissements de la bise légère ou de la tempête qui savoure
Avec fracas les falaises d’ Etretat ou les canyons de l’Arizona
Et s’échoue en éclair sous un ciel de savane africaine qui rougeoie.
Ces paysages se sont les traits de ton visage charismatique
Quand tes pensées partent dans un monde énigmatique
Alors j’aperçois dans ton regard perdu dans l’infiniment grand
Les nébuleuses, l’univers, toute l’éternité sous un fond d’océan.
Les plus beaux paysages du monde je les sillonne depuis des années
Des déserts australiens où la route parait ne jamais s’arrêter
Aux carrefours place de l’étoile où tout se met à tourbillonner
Tel un manège sur la place de Moscou, sous une pluie glacée.
Ces paysages, je ne cesse de les contempler dans tes yeux
Quand ils m’enveloppent en plus d’un sourire amoureux
Je suis sur une île déserte où je m’offre sans retenue
Le corps lascif impatiente de sentir ta peau nue.
Les plus beaux paysages du monde je les sillonne tous les soirs
Des îles grecques, à l’Islande, où la glace comme un miroir
Me renvoie la beauté des fleurs hawaïennes aux odeurs musquées
Qui emplissent l’ambiance de nos nuits, de douce volupté.
Ces paysages défilent sous les pas de ta silhouette masculine
Qui marche féline dans une ambiance d’ombre de chine
Où l’obélisque de Louxor va bientôt s’éveiller à l’aurore
Au contact chaud de mon corps qui dort encore.
Les plus beaux paysages du monde je les sillonne avec toi
Des abysses les plus profondes jusqu’au sommet du Fuji-yama
Et Je ressens en moi tous les volcans de la terre entière se réveiller
Quand de tes doigts légèrement humides, tu viens m’effleurer.
Isabelle