Le temps est en retard, Dans ce monde un peu bizarre, Mes yeux sur l'horloge se posèrent, par hasard, Dehors, il fait noir, à vrai dire, je pense qu'il est tard Par une nuit d'hiver, tout est gelé, Malgré tout, l'horloge tourne, Sans s'arrêter, le temps s'écoule Comme dans ce vieux sablier, le sable en train de s'écouler, On regrette tous ce temps, Ce temps qu'on chéri temps, Ce temps discret mais loin d'être absent, Ce temps auquel, bien sûr, on prête trop de sentiment, Le temps n'a pas d'heure Le vent n'a plus de souffle Dans sa langueur, Le temps s'étouffe Si le temps était une couleur, Il ne serait ni rouge, ni blanc, ni gris, Car dans la nuit, Le temps est infini, Parfois le temps, de temps en temps, Agit comme une bombe à retardement, Car les sentiments avec le temps, S'expriment, tout simplement, Si le temps était une musique, Ce ne serait pas du Mozart, Et même si cela vous semble bizarre Le temps serait cette musique, Tantôt sobre, tantôt dynamique, Mais en fin de compte cette musique serait magique, En d'autre temps c'était merveilleux, En d'autre terme ça l'était vraiment, Essayer de se retrouver, simplement, Car à travers le temps, tout ça nous laisse envieux, Le temps comme l'eau, S'écouleras à tous vas, Car après tout comme c'est beau, Ce serait triste de manquer ça, Si le temps n'était que purement, Une horloge à la marge du temps, Si le temps n'était qu'une question d'histoire, Histoire de prendre le temps et de garder espoir, Il suffit de regarder pour voir, Il suffit d'y prier pour y croire, Pour comprendre à la fin de l'histoire, Le temps d'un instant, que tout ceci n'est pas noir, Il est temps à présent, De prendre conscience de se moment, Que l'on soit adulte, enfant ou adolescent, Rien n'est plus beau que le présent L'heure accorde au temps, Que le temps est à l'heure, Mais qu'il n'y a pas d'heure, Pour avoir accès au bonheur, Le temps, cet air constant que nul ne voit, Mais qui pourtant, est bien présent, Cet air, autour de nous, est là, Cet air que quiconque n'entend, L'heure du temps, Le temps d'une heure, S'emballent simplement, Rapidement et sans langueur, Cet orgue temporelle, Jouant cette symphonie minuté, Semble se poursuivre, éternelle, Semble continuer, à un rythme effréné, L'heure nous accorde, Que la seconde enchaînera, Sur la minute en discorde, Afin que le temps, jamais ne s’arrêtera ...
