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Le tablier de Satan (D’après Le sablier du temps de Lilasys)

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#1
Le tablier de Satan (D’après Le sablier du temps de Lilasys)

Je sème mes gouttes de pleurs devant ta porte,
M
on envie seule se terre au rivage du tablier de Satan,
Cette célèbre couleur s'oublie du sage souvent,
Et captive l’au-delà d'une trêve sœur qui transporte.


La fête haute je ne serais jamais comme un absent,
Le
langage éclos, j'exporte ma plume sur ton parchemin,
Dans les
vieux, toute la beauté des rires et des chants,
Par petites doses qui dessineront ses nouveaux malins.


L’élève sans douleur, mais toujours pour ma sœur qui palpite,
Salubre beauté marine aux cliquetis des blagues,
Je
t'endormirais avec tes sourires sans arme, sans drague,
Seul
le rond d’émoi, une pincée sur toile pour toi qui mérite.


C'est avec élégance que je tends tes derniers doutes,
Pour
trouer le silence de tes maux caché dans tes cris,
Éteignez moi toutes ces peurs du fond de ta route,
Bien trop
laides dans ta prose du matin pour en rire aussi.


Tu serais gercée sans ce dur et incroyable soleil,
Où l'exit
tance, ce ne sera qu’en toi en enlevant mes veines,
Mêle en folie et efface ces faux vœux, tu seras souveraine,
D'un pays merveilleux
ou l’on bise tout ton sommeil.


veloppe pour moi un texte vaporeux aux rimes d’airelle,
Rêve plus loin là où nous tous on reconnaît ton adresse,
Ce
s derniers soirs de Pierrot lune tu seras la maîtresse,
D'un
vieux où sa sentence sonnera en cloche pour ma chapelle...



Le sablier du temps

Je sème mes doutes mes peurs devant la porte
Ma vie solitaire au visage du sablier du temps
Cette funèbre douleur s'oublie au visage du vent
Me captive au delà d'un crève cœur qui n'avorte


La tête haute je n'aurais pour sur les absents
Les bagages clos j'emporte ma plume mon parchemin
Dans les yeux toute la beauté les rires les chants
Ces petites choses qui dessineront mes nouveaux matins


La lèvre sans couleur mais toujours ce cœur qui palpite
Lugubre beauté marine aux cliquetis des vagues
Je m'endormirais avec mes soupirs sans lames sans divagues
Seule au fond de moi une pincé d'étoiles pour qui le mérite


C'est avec élégance que je prends ma dernière route
Sans troubler le silence sans maux sans un seul cri
Épargnez moi toutes ces fleurs au fond de ma soute
Bien trop belles à la rosée du matin pour mourir ainsi


Je serais bercée dans ce doux et incroyable sommeil
Où l'existence ne sera en moi plus qu'une graine
Mélancolie effacée tel un vœux je serais souveraine
D'un pays merveilleux qui ne brise aucun soleil


Enveloppez moi d'un linceul vaporeux Ô douces dentelles
Rêver plus loin là où personne ne connait l'adresse
Ce dernier soir sans lune je serais la maîtresse

D'un Dieu où la sentence sonnera les cloches de la chapelle...

LILASYS
 
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